Les députés de la nouvelle Assemblée nationale effectueront, mercredi prochain, leur rentrée solennelle à Yamoussoukro, en présence du président de la République, Alassane Ouattara.
La deuxième législature de la deuxième république ouvrira cette première session de l’année 2012 sur le thème "Mettre le citoyen au cœur de l’action publique", indique-t-on.
Le nouveau parlement ivoirien, présidé par Guillaume Soro, élu le 12 mars lors d’une réunion extraordinaire dans la capitale politique du pays, est composé de députés issus du Rassemblement des républicains (RDR, parti présidentiel), du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI), du Mouvement des forces d’avenir (MFA), de l’Union pou la Côte d’Ivoire (UPCI) ainsi que des élus indépendants, note-t-on.
Les partis de l’opposition, notamment le Front populaire ivoirien de l’ex-président Laurent Gbagbo, n’y siégeront pas pour avoir boycotté le scrutin législatif, en exigeant un certain nombre de conditions avant leur participation à cette élection survenue quelque huit mois après la fin de la crise postélectorale, rappelle-t-on.
Cette rentrée solennelle, annonce-t-on, enregistrera la présence de plusieurs présidents d’institutions de pays de la sous-région.
(AIP)
kp
La deuxième législature de la deuxième république ouvrira cette première session de l’année 2012 sur le thème "Mettre le citoyen au cœur de l’action publique", indique-t-on.
Le nouveau parlement ivoirien, présidé par Guillaume Soro, élu le 12 mars lors d’une réunion extraordinaire dans la capitale politique du pays, est composé de députés issus du Rassemblement des républicains (RDR, parti présidentiel), du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI), du Mouvement des forces d’avenir (MFA), de l’Union pou la Côte d’Ivoire (UPCI) ainsi que des élus indépendants, note-t-on.
Les partis de l’opposition, notamment le Front populaire ivoirien de l’ex-président Laurent Gbagbo, n’y siégeront pas pour avoir boycotté le scrutin législatif, en exigeant un certain nombre de conditions avant leur participation à cette élection survenue quelque huit mois après la fin de la crise postélectorale, rappelle-t-on.
Cette rentrée solennelle, annonce-t-on, enregistrera la présence de plusieurs présidents d’institutions de pays de la sous-région.
(AIP)
kp