Bouaké -Le président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro, souhaite que des solutions idoines soient trouvées en vue de la réinsertion des ex-combattants démobilisés, qui ont été pendant plusieurs années au-devant de la scène en tant que combattants, que de les stigmatiser.
Parrain de la cérémonie de lancement des activités de l’Agence nationale de formation professionnelle (AGEFOP) à Bouaké, Guillaume Soro n’a pas manqué l’occasion d’évoquer la délicate question des jeunes "très fraichement démobilisés" qui attendent avec impatience une réinsertion dans le tissu économique et social.
"Il vaut mieux apporter des solutions, à mon humble avis, que des les stigmatiser, car si rien n’est fait pour former convenablement ces jeunes et pour leur procurer grâce à un apprentissage adapté et ciblé sur les besoins effectifs des entreprises de réels débouchés dans le monde du travail, comment espérer qu’ils puissent retrouver l’espérance", s’est-il interrogé.
Pour le président de l’Assemblée nationale, en cette période post-crise, caractérisée par son lot de délocalisation et de fermeture d’entreprises et par des licenciements massifs, des pillages et des destructions de moyens de production, il n’est pas étonnant qu’un nombre important de jeunes se retrouvent en situation de précarité.
"Si rien n’est fait, il ne faudra pas s’étonner que la fleur de l’âge ne produise point de fleur, mais qu’elle sombre, au contraire, dans la violence et la désespérance", prévient Guillaume Soro qui dit accorder un intérêt à l’interpellation de l’AGEFOP sur la question de la qualification des jeunes.
Le président du parlement ivoirien a rassuré sur son plein soutien à l’heureuse initiative de l’Agence qui permettra d’offrir des opportunités nouvelles de formation à ces nombreux jeunes condamnés à l’oisiveté et au désespoir, et tentés par la délinquance.
"Je vous le garantis, l’Assemblée nationale est résolue à apporter sa contribution, afin que les jeunes gens et les jeunes filles de notre heureuse et fière Côte d’Ivoire retrouvent ce bonheur et cette fierté en même temps que leur capacité à envisager l’avenir avec optimisme et le dynamisme qui leur sont propres", a promis Guillaume Soro.
Aussi, a-t-il invité chaque ivoirien et toutes les institutions à un devoir citoyen en contribuant à la réalisation de la volonté du chef de l’Etat qui fait de l’insertion des jeunes une priorité nationale.
Parrain de la cérémonie de lancement des activités de l’Agence nationale de formation professionnelle (AGEFOP) à Bouaké, Guillaume Soro n’a pas manqué l’occasion d’évoquer la délicate question des jeunes "très fraichement démobilisés" qui attendent avec impatience une réinsertion dans le tissu économique et social.
"Il vaut mieux apporter des solutions, à mon humble avis, que des les stigmatiser, car si rien n’est fait pour former convenablement ces jeunes et pour leur procurer grâce à un apprentissage adapté et ciblé sur les besoins effectifs des entreprises de réels débouchés dans le monde du travail, comment espérer qu’ils puissent retrouver l’espérance", s’est-il interrogé.
Pour le président de l’Assemblée nationale, en cette période post-crise, caractérisée par son lot de délocalisation et de fermeture d’entreprises et par des licenciements massifs, des pillages et des destructions de moyens de production, il n’est pas étonnant qu’un nombre important de jeunes se retrouvent en situation de précarité.
"Si rien n’est fait, il ne faudra pas s’étonner que la fleur de l’âge ne produise point de fleur, mais qu’elle sombre, au contraire, dans la violence et la désespérance", prévient Guillaume Soro qui dit accorder un intérêt à l’interpellation de l’AGEFOP sur la question de la qualification des jeunes.
Le président du parlement ivoirien a rassuré sur son plein soutien à l’heureuse initiative de l’Agence qui permettra d’offrir des opportunités nouvelles de formation à ces nombreux jeunes condamnés à l’oisiveté et au désespoir, et tentés par la délinquance.
"Je vous le garantis, l’Assemblée nationale est résolue à apporter sa contribution, afin que les jeunes gens et les jeunes filles de notre heureuse et fière Côte d’Ivoire retrouvent ce bonheur et cette fierté en même temps que leur capacité à envisager l’avenir avec optimisme et le dynamisme qui leur sont propres", a promis Guillaume Soro.
Aussi, a-t-il invité chaque ivoirien et toutes les institutions à un devoir citoyen en contribuant à la réalisation de la volonté du chef de l’Etat qui fait de l’insertion des jeunes une priorité nationale.