Le ministère de l’Environnement et du Développement durable a organisé, en partenariat avec le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), la Convention d’Abidjan, le Programme des Nations Unies pour le Développement (Pnud), et la Compagnie Ivoirienne d’Electricité (CIE), la Journée Mondiale des Océans, le samedi 09 juin 2012, à la Maison du Patrimoine de Grand-Bassam.
Cette célébration placée sous le thème : «Jeunesse: la prochaine vague du changement», fut l’occasion pour le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Dr Rémi Allah- Kouadio d’inviter les jeunes à jouer un rôle capital dans la conservation des océans, car, «un océan riche en biodiversité» constitue pour lui, un vecteur ou un indicateur des conditions climatiques normales de la planète Terre. Le ministre a rappelé que la Côte d’Ivoire a un littoral de plus de 570 km, une capacité fluviale de 600 km et un territoire qui se prolonge en mer. «Nous disposons d’atouts majeurs insoupçonnables pour notre développement», a laissé entendre M. Allah- Kouadio. Malheureusement, a-t-il regretté, ces ressources ne sont pas suffisamment exploitées et notre littoral souffre du changement climatique. Evoquant une sollicitation de la mairie de Grand-Bassam concernant la réouverture de l’embouchure de la Comoé, fermée depuis quelques années, le ministre a affirmé que les choses sont sur la bonne voie. Il a indiqué que des experts hollandais ont pris connaissance du dossier et qu’un protocole d’accord serait bientôt signé pour fixer les conditions de livraison de l’ouvrage. «Les fonds ont été décaissés et il s’agira de faire en sorte que l’embouchure rouvre pour être durablement fonctionnel», a rassuré le ministre. Il a appelé la jeunesse à protéger l’océan, car source inépuisable d’emplois. Après lui, Maurice Kacou Guikahué, du Conseil économique et social (CES) a souligné que des crises écologiques menacent notre pays qui perd plus d’un mètre par an, sous la pression des océans. L’avenir passe, pour lui, par la promotion d’un comportement éco-citoyen afin de préserver nos mers et fleuves pour les générations futures. Les manifestations se sont achevées par le nettoyage des plages de la cité balnéaire. Nettoyage entrepris par des élèves de la ville de Bassam, qui marquaient ainsi leur volonté de sauvegarder les eaux ivoiriennes, outil important pour le développement socioéconomique.
Olivier Guédé
Cette célébration placée sous le thème : «Jeunesse: la prochaine vague du changement», fut l’occasion pour le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Dr Rémi Allah- Kouadio d’inviter les jeunes à jouer un rôle capital dans la conservation des océans, car, «un océan riche en biodiversité» constitue pour lui, un vecteur ou un indicateur des conditions climatiques normales de la planète Terre. Le ministre a rappelé que la Côte d’Ivoire a un littoral de plus de 570 km, une capacité fluviale de 600 km et un territoire qui se prolonge en mer. «Nous disposons d’atouts majeurs insoupçonnables pour notre développement», a laissé entendre M. Allah- Kouadio. Malheureusement, a-t-il regretté, ces ressources ne sont pas suffisamment exploitées et notre littoral souffre du changement climatique. Evoquant une sollicitation de la mairie de Grand-Bassam concernant la réouverture de l’embouchure de la Comoé, fermée depuis quelques années, le ministre a affirmé que les choses sont sur la bonne voie. Il a indiqué que des experts hollandais ont pris connaissance du dossier et qu’un protocole d’accord serait bientôt signé pour fixer les conditions de livraison de l’ouvrage. «Les fonds ont été décaissés et il s’agira de faire en sorte que l’embouchure rouvre pour être durablement fonctionnel», a rassuré le ministre. Il a appelé la jeunesse à protéger l’océan, car source inépuisable d’emplois. Après lui, Maurice Kacou Guikahué, du Conseil économique et social (CES) a souligné que des crises écologiques menacent notre pays qui perd plus d’un mètre par an, sous la pression des océans. L’avenir passe, pour lui, par la promotion d’un comportement éco-citoyen afin de préserver nos mers et fleuves pour les générations futures. Les manifestations se sont achevées par le nettoyage des plages de la cité balnéaire. Nettoyage entrepris par des élèves de la ville de Bassam, qui marquaient ainsi leur volonté de sauvegarder les eaux ivoiriennes, outil important pour le développement socioéconomique.
Olivier Guédé