Au moins 80 assaillants sont à l`origine de la mort de sept Casques bleus la semaine dernière dans le sud-ouest de la Côte d`Ivoire, a déclaré mardi le chef des opérations de maintien de la paix de l`ONU, sans pouvoir préciser l`identité des agresseurs.
La patrouille a été "prise par surprise", a déclaré à New York le responsable onusien, Hervé Ladsous, devant quelques journalistes, à propos de l`attaque de vendredi qui a également fait 10 morts dans la population civile et provoqué la fermeture de la frontière avec le Liberia.
Les Casques bleus, originaires du Niger, étaient une quarantaine à patrouiller autour de la ville de Tai lorsqu`ils ont été informés qu`une attaque se préparait contre un village.
Attaqués par des agresseurs au moins deux fois plus nombreux, les soldats de l`ONU ont eu un véhicule entièrement détruit et un autre détruit à moitié, selon M. Ladsous.
"Ils sont parvenus à se retirer, se sont rendus dans un village où ils ont pris position avant d`y passer la nuit en attendant que la force de l`ONU envoie des renforts", a déclaré le haut responsable onusien, qui doit se rendre à Abidjan afin de rendre hommage aux victimes jeudi.
"Nous cherchons à établir les faits mais jusqu`à présent nous savons peu de choses voire rien du tout des agresseurs, même si cela finira par s`éclaircir", a ajouté M. Ladsous.
Le gouvernement ivoirien a accusé des partisans de l`ex-président Laurent Gbagbo d`avoir fomenté l`attaque, la pire jamais commise en Côte d`Ivoire contre la force des Nations unies. M. Ladsous a jugé possible que les assaillants soient entrés dans le pays depuis le Liberia.
Le haut responsable de l`ONU a indiqué que Liberia et Côte d`Ivoire travaillaient de concert à renforcer leurs patrouilles frontalières afin de sécuriser le secteur. Le gouvernement ivoirien a annoncé qu`il lancerait une opération militaire dans la région, avec le soutien probable des Nations unies. "C`est l`un des dossiers que je vais examiner à Abidjan", a déclaré M. Ladsous.
La patrouille a été "prise par surprise", a déclaré à New York le responsable onusien, Hervé Ladsous, devant quelques journalistes, à propos de l`attaque de vendredi qui a également fait 10 morts dans la population civile et provoqué la fermeture de la frontière avec le Liberia.
Les Casques bleus, originaires du Niger, étaient une quarantaine à patrouiller autour de la ville de Tai lorsqu`ils ont été informés qu`une attaque se préparait contre un village.
Attaqués par des agresseurs au moins deux fois plus nombreux, les soldats de l`ONU ont eu un véhicule entièrement détruit et un autre détruit à moitié, selon M. Ladsous.
"Ils sont parvenus à se retirer, se sont rendus dans un village où ils ont pris position avant d`y passer la nuit en attendant que la force de l`ONU envoie des renforts", a déclaré le haut responsable onusien, qui doit se rendre à Abidjan afin de rendre hommage aux victimes jeudi.
"Nous cherchons à établir les faits mais jusqu`à présent nous savons peu de choses voire rien du tout des agresseurs, même si cela finira par s`éclaircir", a ajouté M. Ladsous.
Le gouvernement ivoirien a accusé des partisans de l`ex-président Laurent Gbagbo d`avoir fomenté l`attaque, la pire jamais commise en Côte d`Ivoire contre la force des Nations unies. M. Ladsous a jugé possible que les assaillants soient entrés dans le pays depuis le Liberia.
Le haut responsable de l`ONU a indiqué que Liberia et Côte d`Ivoire travaillaient de concert à renforcer leurs patrouilles frontalières afin de sécuriser le secteur. Le gouvernement ivoirien a annoncé qu`il lancerait une opération militaire dans la région, avec le soutien probable des Nations unies. "C`est l`un des dossiers que je vais examiner à Abidjan", a déclaré M. Ladsous.