ABIDJAN - Le ministre nigérien de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique Mamadou Youba Diallo a indiqué jeudi à Abidjan que le décès des sept Casques bleus du contingent nigérien de l'Opération des Nations-Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) à l'ouest du pays n'entamera pas l'engagement du Niger à œuvrer pour la paix en Côte d'Ivoire.
"Au nom du président de la République, du gouvernement et du peuple nigérien, je voudrais assurer que l'incident du 8 juin n'entamera en rien la détermination de notre pays à poursuivre son engagement aux côtés de l'ONUCI pour le retour définitif de la paix en Côte d'Ivoire", a déclaré en substance M. Diallo au cours d'une cérémonie d'hommage aux Casques bleus tués.
L'émissaire du gouvernement nigérien a ainsi rendu hommage aux soldats morts en mission de paix pour un "peuple frère". Le chef de l'Etat ivoirien Alassane Ouattara qui assistait à la cérémonie a tenu honorer au nom de la Nation ivoirienne la mémoire des "vaillants" soldats nigériens "morts dans un pays et pour un pays". "Le gouvernement ivoirien prendra toutes les mesures pour mettre un terme aux agissements des auteurs et instigateurs des attaques", a promis M. Ouattara.
Les autorités ivoiriennes, nigériennes et onusiennes ont rendu hommage jeudi aux soldats nigériens "tombés" six jours plus tôt à Para (ouest) sous les balles d'inconnus armés alors qu'ils étaient en patrouille dans cette zone frontalière.
La frontière ivoiro-libérienne qualifiée de poreuse par plusieurs observateurs subit depuis plusieurs mois des attaques récurrentes de commandos puissamment armés, notamment du côté de l'ouest de la Côte d`Ivoire. Au moins trois militaires ivoiriens et 10 civils avaient également été tués au cours de l’« embuscade » qui a coûté la vie aux Casques bleus. Cette attaque a été précédée puis suivie de plusieurs autres qui ont également occasionné des décès.
Les autorités ivoiriennes et libériennes ont promis de conjuguer leurs efforts pour retrouver les auteurs des crimes et les livrer à la justice. Les forces armées de ces deux pays ont débuté des actions militaires conjointes pour sécuriser et pacifier la zone.
"Au nom du président de la République, du gouvernement et du peuple nigérien, je voudrais assurer que l'incident du 8 juin n'entamera en rien la détermination de notre pays à poursuivre son engagement aux côtés de l'ONUCI pour le retour définitif de la paix en Côte d'Ivoire", a déclaré en substance M. Diallo au cours d'une cérémonie d'hommage aux Casques bleus tués.
L'émissaire du gouvernement nigérien a ainsi rendu hommage aux soldats morts en mission de paix pour un "peuple frère". Le chef de l'Etat ivoirien Alassane Ouattara qui assistait à la cérémonie a tenu honorer au nom de la Nation ivoirienne la mémoire des "vaillants" soldats nigériens "morts dans un pays et pour un pays". "Le gouvernement ivoirien prendra toutes les mesures pour mettre un terme aux agissements des auteurs et instigateurs des attaques", a promis M. Ouattara.
Les autorités ivoiriennes, nigériennes et onusiennes ont rendu hommage jeudi aux soldats nigériens "tombés" six jours plus tôt à Para (ouest) sous les balles d'inconnus armés alors qu'ils étaient en patrouille dans cette zone frontalière.
La frontière ivoiro-libérienne qualifiée de poreuse par plusieurs observateurs subit depuis plusieurs mois des attaques récurrentes de commandos puissamment armés, notamment du côté de l'ouest de la Côte d`Ivoire. Au moins trois militaires ivoiriens et 10 civils avaient également été tués au cours de l’« embuscade » qui a coûté la vie aux Casques bleus. Cette attaque a été précédée puis suivie de plusieurs autres qui ont également occasionné des décès.
Les autorités ivoiriennes et libériennes ont promis de conjuguer leurs efforts pour retrouver les auteurs des crimes et les livrer à la justice. Les forces armées de ces deux pays ont débuté des actions militaires conjointes pour sécuriser et pacifier la zone.