La deuxième législature de la deuxième République a été installée depuis deux mois. Les députés ont été envoyés en mission par le président de l’Assemblée nationale pour aller à la rencontre des populations. Nous avons rencontré le député de Katiali-Niofoin. Il nous fait le bilan de sa rencontre avec les populations.
Le Patriote : Honorable, vous étiez récemment dans votre circonscription où vous avez faire le tour des villages. Peut-on savoir le but de cette tournée ?
Soro Fobeh : Après la première session parlementaire, le président de l’Assemblée nationale, le président Guillaume Soro a demandé aux élus d’aller dans nos circonscriptions dans les villages et campements pour livrer la paix message de paix et de réconciliation du président de la République. Moi je suis Sénoufo. Chez nous le respect du chef et de l’ainé est sacré. Notre chef qui est le président de l’Assemblée nationale a donné des instructions pour que nous les exécutions sur le terrain. Et c’est ce que j’ai fait.
LP : Peut-on savoir l’essentiel du contenu du message que vous véhiculiez dans ces localités ?
SF : Le contenu du message était clair. C’est qu’aujourd’hui, la Côte d’Ivoire, après la crise postélectorale aspire à la paix pour se développement. A ce sujet, les populations de Katiali et de Nuofoin nous ont chargés d’aller dire au président qu’en ce qui concerne la paix et le développement du pays, elles adhèrent pleinement à ce message.
LP : Nous savons que la crise postélectorale a été difficile pour tous avec son corollaire de victimes et disparus. Aujourd’hui, pour panser les blessures, un processus de réconciliation nationale a été initié. A Katiali-Nuofoin comment se passe la réconciliation nationale ?
SF : A priori, il n’y a pas de problème. Tout se passe bien. Vous savez que le peuple sénoufo est par essence pacifique et discipliné. Dès l’instant où l’ainé et le chef indique une voie à suivre, tout le monde s’aligne. Quel que soit ce qui s’est passé, le président de la République demande aux peuples de Côte d’ivoire de se réconcilier, les populations de Katiali et Niofoin, c’est seuls mots-là suffisent.
LP : La deuxième législature de la deuxième République se caractérise par sa jeunesse. Que peut-on espérer de cette nouvelle Assemblée nationale où siègent aujourd’hui beaucoup de jeunes ?
SF : Il faut espérer beaucoup de cette Assemblée ; le président de l’Assemblée nationale que salue au passage, donnera tel qu’on lui connait un autre cachet à cette Assemblée nationale. J’en suis sûr. Il fera tout pour que cette Assemblée devienne un véritable outil de développement au service du peuple de Côte d’Ivoire. Il est vrai que les jeunes ont leur méthode à l’image de la population ivoirienne qui est très jeune. Mais croyez-moi, ces jeunes députés apporteront beaucoup à la Côte d’Ivoire.
LP : Les populations de votre circonscription vous ont fait confiance en vous accordant leur mandat. Quel sera votre combat pour elles maintenant que vous les représentez à l’Assemblée nationale ?
SF : Mon combat pour elles sera le combat du bien-être. Lorsque je suis allé à la rencontre des populations, elles m’ont fait part de leurs doléances. Prenez par exemple Nuofoin et Katiali, sur une quarantaine de village, il n’y a pas plus de 7 villages qui sont électrifiés. Il en est de même pour l’eau courante. Vraiment surtout pour les populations de Niofoin, quelque chose doit être fait. Pour cela, nous faisons confiance au chef de l’Etat qui dans son programme de gouvernement a prévu une grande place à l’électrification et l’eau potable. En tant que député, nous nous battrons à l’Assemblée nationale pour que nos populations puissent bénéficier de ces projets. Il y a aussi le problème de l’état de nos routes. Sur tous ces problèmes, nous nous ferons l’écho de nos populations auprès de nos patrons.
Réalisée par Jean Claude Coulibaly
Le Patriote : Honorable, vous étiez récemment dans votre circonscription où vous avez faire le tour des villages. Peut-on savoir le but de cette tournée ?
Soro Fobeh : Après la première session parlementaire, le président de l’Assemblée nationale, le président Guillaume Soro a demandé aux élus d’aller dans nos circonscriptions dans les villages et campements pour livrer la paix message de paix et de réconciliation du président de la République. Moi je suis Sénoufo. Chez nous le respect du chef et de l’ainé est sacré. Notre chef qui est le président de l’Assemblée nationale a donné des instructions pour que nous les exécutions sur le terrain. Et c’est ce que j’ai fait.
LP : Peut-on savoir l’essentiel du contenu du message que vous véhiculiez dans ces localités ?
SF : Le contenu du message était clair. C’est qu’aujourd’hui, la Côte d’Ivoire, après la crise postélectorale aspire à la paix pour se développement. A ce sujet, les populations de Katiali et de Nuofoin nous ont chargés d’aller dire au président qu’en ce qui concerne la paix et le développement du pays, elles adhèrent pleinement à ce message.
LP : Nous savons que la crise postélectorale a été difficile pour tous avec son corollaire de victimes et disparus. Aujourd’hui, pour panser les blessures, un processus de réconciliation nationale a été initié. A Katiali-Nuofoin comment se passe la réconciliation nationale ?
SF : A priori, il n’y a pas de problème. Tout se passe bien. Vous savez que le peuple sénoufo est par essence pacifique et discipliné. Dès l’instant où l’ainé et le chef indique une voie à suivre, tout le monde s’aligne. Quel que soit ce qui s’est passé, le président de la République demande aux peuples de Côte d’ivoire de se réconcilier, les populations de Katiali et Niofoin, c’est seuls mots-là suffisent.
LP : La deuxième législature de la deuxième République se caractérise par sa jeunesse. Que peut-on espérer de cette nouvelle Assemblée nationale où siègent aujourd’hui beaucoup de jeunes ?
SF : Il faut espérer beaucoup de cette Assemblée ; le président de l’Assemblée nationale que salue au passage, donnera tel qu’on lui connait un autre cachet à cette Assemblée nationale. J’en suis sûr. Il fera tout pour que cette Assemblée devienne un véritable outil de développement au service du peuple de Côte d’Ivoire. Il est vrai que les jeunes ont leur méthode à l’image de la population ivoirienne qui est très jeune. Mais croyez-moi, ces jeunes députés apporteront beaucoup à la Côte d’Ivoire.
LP : Les populations de votre circonscription vous ont fait confiance en vous accordant leur mandat. Quel sera votre combat pour elles maintenant que vous les représentez à l’Assemblée nationale ?
SF : Mon combat pour elles sera le combat du bien-être. Lorsque je suis allé à la rencontre des populations, elles m’ont fait part de leurs doléances. Prenez par exemple Nuofoin et Katiali, sur une quarantaine de village, il n’y a pas plus de 7 villages qui sont électrifiés. Il en est de même pour l’eau courante. Vraiment surtout pour les populations de Niofoin, quelque chose doit être fait. Pour cela, nous faisons confiance au chef de l’Etat qui dans son programme de gouvernement a prévu une grande place à l’électrification et l’eau potable. En tant que député, nous nous battrons à l’Assemblée nationale pour que nos populations puissent bénéficier de ces projets. Il y a aussi le problème de l’état de nos routes. Sur tous ces problèmes, nous nous ferons l’écho de nos populations auprès de nos patrons.
Réalisée par Jean Claude Coulibaly