Guillaume Kigbafori Soro était l’invité d’honneur du Parlement francophone de Wallonie-Bruxelles (PFWB), le mercredi 11 juillet 2012. Accompagné de l’ambassadeur Jean-Vincent Zinsou, des députés Boby Assa Emilienne et John Teke, il a été reçu au palais de la Chambre des Représentants (l’Assemblée nationale) par le président de cette institution, M. André Flahaut.
A son arrivée, le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Kigbafori Soro, a été salué par la garde d’honneur de ce parlement. Installé au salon ministériel, Guillaume Soro s’est entretenu pendant près d’une heure avec M. Flahaut et l’ensemble de son cabinet. Prenant la parole, Guillaume Soro a présenté le parlement ivoirien, un parlement jeune, a-t-il dit, car renouvelé à près de 90%. Il a expliqué en détail la situation de la Côte d’Ivoire née de la crise postélectorale de 2010 et les efforts déployés par le président de la République et son gouvernement pour que la Côte d’Ivoire ne sombre pas dans le chaos.
Poursuivant, il a dépeint le tableau de la Côte d’Ivoire renaissante, «débarrassée du fardeau de sa dette, qui a réinstauré la sécurité à l’intérieur de son territoire et qui sécurise ses frontières extérieures avec les pays à risques».
C’est à un véritable cours de géopolitique que le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire s’est livré lorsqu’il a été interrogé sur la crise malienne. Sa grande connaissance des enjeux sécuritaires dans cette région et le risque de contagion de l’ensemble des pays riverains du Mali par lui présenté et les risques d’un effet domino, avec à la clé quasiment un chronogramme du désastre imminent, si rien n’était fait par la communauté internationale pour soutenir les efforts de la Cedeao, a fini de situer ses interlocuteurs sur sa dimension réelle. Pour sa part, le Président du parlement francophone belge a partagé les expériences de son pays quant à ses diversités culturelles et linguistiques, le poids des communautés, la force des entités décentralisées, le rôle central de la Chambre des Représentants.
A.Dedi avec sercom Guillaume
Kigbafori Soro
A son arrivée, le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Kigbafori Soro, a été salué par la garde d’honneur de ce parlement. Installé au salon ministériel, Guillaume Soro s’est entretenu pendant près d’une heure avec M. Flahaut et l’ensemble de son cabinet. Prenant la parole, Guillaume Soro a présenté le parlement ivoirien, un parlement jeune, a-t-il dit, car renouvelé à près de 90%. Il a expliqué en détail la situation de la Côte d’Ivoire née de la crise postélectorale de 2010 et les efforts déployés par le président de la République et son gouvernement pour que la Côte d’Ivoire ne sombre pas dans le chaos.
Poursuivant, il a dépeint le tableau de la Côte d’Ivoire renaissante, «débarrassée du fardeau de sa dette, qui a réinstauré la sécurité à l’intérieur de son territoire et qui sécurise ses frontières extérieures avec les pays à risques».
C’est à un véritable cours de géopolitique que le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire s’est livré lorsqu’il a été interrogé sur la crise malienne. Sa grande connaissance des enjeux sécuritaires dans cette région et le risque de contagion de l’ensemble des pays riverains du Mali par lui présenté et les risques d’un effet domino, avec à la clé quasiment un chronogramme du désastre imminent, si rien n’était fait par la communauté internationale pour soutenir les efforts de la Cedeao, a fini de situer ses interlocuteurs sur sa dimension réelle. Pour sa part, le Président du parlement francophone belge a partagé les expériences de son pays quant à ses diversités culturelles et linguistiques, le poids des communautés, la force des entités décentralisées, le rôle central de la Chambre des Représentants.
A.Dedi avec sercom Guillaume
Kigbafori Soro
