Arrêté ce dimanche à Adzopé sur ordre d’Hamed Bakayoko, ministre de l’Intérieur d’Alassane Ouattara, le secrétaire général du Front populaire ivoirien, Laurent Akoun, devrait être conduit à la brigade de recherches d’Abidjan-Plateau, en face du commandement supérieur de la gendarmerie, a appris un journaliste du Nouveau Courrier. Laurent Akoun a été arrêté à un corridor après un meeting qui a eu lieu dans la ville d’Akoupé, au sud de la Côte-d’Ivoire.
C’est la consternation dans les milieux de l’opposition ivoirienne. Après l’incarcération de l’ancien ministre Alphonse Douaty, Laurent Akoun, secrétaire général par intérim du Front populaire ivoirien (FPI), parti fondé par Laurent Gbagbo, a été arrêté par les FRCI ce dimanche 26 août 2012 en début d’après-midi à un corridor à Adzopé, dans la région de l’Agnéby (sud du pays). Selon nos informations, les détachement de gendarmerie de la ville d’Adzopé n’a pas été impliqué dans cette opération d’arrestation. Laurent Akoun revenait d’un meeting dans la ville d’Akoupé, dans la même région. Dans quel cadre Laurent Akoun a-t-il été arrêté ? Où a-t-il été conduit ? Quels motifs seront brandis pour justifier cette énième violation des libertés élémentaires perpétrée par le régime d’Alassane Ouattara ? Le Nouveau Courrier poursuit ses investigations sur la question.
C’est la consternation dans les milieux de l’opposition ivoirienne. Après l’incarcération de l’ancien ministre Alphonse Douaty, Laurent Akoun, secrétaire général par intérim du Front populaire ivoirien (FPI), parti fondé par Laurent Gbagbo, a été arrêté par les FRCI ce dimanche 26 août 2012 en début d’après-midi à un corridor à Adzopé, dans la région de l’Agnéby (sud du pays). Selon nos informations, les détachement de gendarmerie de la ville d’Adzopé n’a pas été impliqué dans cette opération d’arrestation. Laurent Akoun revenait d’un meeting dans la ville d’Akoupé, dans la même région. Dans quel cadre Laurent Akoun a-t-il été arrêté ? Où a-t-il été conduit ? Quels motifs seront brandis pour justifier cette énième violation des libertés élémentaires perpétrée par le régime d’Alassane Ouattara ? Le Nouveau Courrier poursuit ses investigations sur la question.