S’adressant hier aux JV11 (Journaux victimes du 11 avril 2911), qui avaient décidé de boycotter les états généraux de la presse à Yamoussoukro, le ministre de la Communication, Diakité Coty, a prévenu : «Si vous boycottez les Etats généraux, les problèmes vont se poser’’. Après l’audience avec les JV11, il a reçu le comité scientifique des états généraux de la Presse.
Le comité scientifique des états généraux de la presse que préside Koné Samba a remis officiellement hier au ministre de la Communication, Diakité Coty, le pré-rapport, fruit du travail des cinq commissions techniques dépendant de ce comité. Ce sont la commission Juridique et réglementaire, commission Pratique professionnelle et conditions d'exercice, commission Environnement économique, financier et social, commission Régulation et auto régulation et commission ‘’Perspectives: la presse écrite face au numérique’’. C’est à l’Hôtel-Président de Yamoussoukro que se tiendront les états généraux de la presse prévues les 30 et 31 août 2012. Expliquant au ministre de la Communication les raisons qui ont motivé un premier report desdites assises, Samba Koné précise : «Outre le fait que nous avons souhaité être aussi exhaustive que possible, il fallait compter avec les occupations des uns et des autres et surtout avec les aléas inhérents à toute recherche d’informations et collecte de documents».
Pour lui, le pré-rapport doit servir de balise et d’indicateur précis aux assises de Yamoussoukro. «Comme toute œuvre humaine, nous sommes conscient des limites de notre travail qui a été enrichis par la soixantaine de participants le 19 juillet dernier pour la synthèse des travaux», a rappelé Samba Koné qui espère que «Yamoussoukro permettra d’affiner les recommandations et suggestions faites par le comité scientifique afin de permettre à la presse nationale de prendre un nouvel envol avec humilité et rigueur».
Le ministre Diakité Coty s’est réjoui de l’enrichissement des travaux car, admet-il, «Yamoussoukro représente une étape capitale». Depuis plus de vingt ans que ne se sont pas tenus les états généraux de la presse, «il est important de savoir où nous en sommes pour pouvoir faire des projections», souligne-t-il. «Ces documents vont nous permettre à Yamoussoukro d’avoir un enrichissement. Ce document va nous permettre de préparer des textes de loi qui vont régir la profession. Nous allons enrichir ce document que nous allons remettre au Gouvernement», a-t-il promis.
Le Fsdp (Fonds de soutien et de développement de la presse) a dit étudier dans quelle mesure il faudra améliorer le fonds pour qu’il y ait un appui.
Koné Saydoo
Le comité scientifique des états généraux de la presse que préside Koné Samba a remis officiellement hier au ministre de la Communication, Diakité Coty, le pré-rapport, fruit du travail des cinq commissions techniques dépendant de ce comité. Ce sont la commission Juridique et réglementaire, commission Pratique professionnelle et conditions d'exercice, commission Environnement économique, financier et social, commission Régulation et auto régulation et commission ‘’Perspectives: la presse écrite face au numérique’’. C’est à l’Hôtel-Président de Yamoussoukro que se tiendront les états généraux de la presse prévues les 30 et 31 août 2012. Expliquant au ministre de la Communication les raisons qui ont motivé un premier report desdites assises, Samba Koné précise : «Outre le fait que nous avons souhaité être aussi exhaustive que possible, il fallait compter avec les occupations des uns et des autres et surtout avec les aléas inhérents à toute recherche d’informations et collecte de documents».
Pour lui, le pré-rapport doit servir de balise et d’indicateur précis aux assises de Yamoussoukro. «Comme toute œuvre humaine, nous sommes conscient des limites de notre travail qui a été enrichis par la soixantaine de participants le 19 juillet dernier pour la synthèse des travaux», a rappelé Samba Koné qui espère que «Yamoussoukro permettra d’affiner les recommandations et suggestions faites par le comité scientifique afin de permettre à la presse nationale de prendre un nouvel envol avec humilité et rigueur».
Le ministre Diakité Coty s’est réjoui de l’enrichissement des travaux car, admet-il, «Yamoussoukro représente une étape capitale». Depuis plus de vingt ans que ne se sont pas tenus les états généraux de la presse, «il est important de savoir où nous en sommes pour pouvoir faire des projections», souligne-t-il. «Ces documents vont nous permettre à Yamoussoukro d’avoir un enrichissement. Ce document va nous permettre de préparer des textes de loi qui vont régir la profession. Nous allons enrichir ce document que nous allons remettre au Gouvernement», a-t-il promis.
Le Fsdp (Fonds de soutien et de développement de la presse) a dit étudier dans quelle mesure il faudra améliorer le fonds pour qu’il y ait un appui.
Koné Saydoo
