« La politique est elle la saine appréciation des choses », dit le philosophe. Le Fpi étant aujourd’hui de nouveau dans l’opposition, n’admet pas cette réalité après ses dix ans (10) passés au pouvoir. Il est inutile de revenir sur sa gestion, ses turpitudes, et son cortège de malversations. « Le Fpi nous a fait voir de toutes les couleurs », se souvient tristement un observateur de la vie politique, lors d’un échange entre amis. « Franchement, il faut reconnaître que nous avons fait preuve de grande légèreté dans notre gestion des affaires publiques», reconnaître, très lucide un militants Lmp.
Comme le disait l’autre, «les militants du Fpi fonctionnent comme un nourrisson. Lorsqu’il a faim, il pleure, lorsqu’il a l’embonpoint, il pleure, lorsqu’il doit s’endormir, il pleure, à son réveil, il pleure, malgré tous les soins dont il fait l’objet de la part de ses parents ». Dans les années 90, le Fpi et ses militants, dans l’opposition, déclenchent les hostilités, prétextant le début d’une nouvelle ère : la démocratie. Ce vent venu de l’Est essaie d’imposer son effet dévastateur; qui secoue toute l’Afrique noire. Et la Côte d’Ivoire n’est pas en reste. Ainsi, le président Félix Houphouët-Boigny libéra alors à son tour la démocratie. Une démocratie mal appréciée par le Fpi qui donne dans du dilatoire. Débutent alors des troubles, des violences indescriptibles du fait de ce parti, on assiste à des manifestations de tout genre avec son corollaire de casses, de grèves intempestives, de tueries. Des activistes se mettent en place, nait une sorte de guérilla estudiantine appelée Fesci. C’est le comble, la Côte d’Ivoire est en ébullition ; malgré les appels aux leaders de gauche à la raison, ainsi que la main tendue du président Houphouët-Boigny, rien ni fit. L e désordre s’installe, jusqu’au décès du père fondateur le 7 décembre 1993. Malgré ce deuil national, qui touchait le monde entier, Gbagbo Laurent et le Fpi continuaient de sévir. La cerise sur le gâteau fut le coup d’Etat du 24 décembre 1999 qui emporta Bédié et le Pdci, parti au pouvoir d’alors. Et depuis cette date la Côte d’Ivoire n’a pas encore retrouvé sa quiétude, jusqu’au mandat calamiteux de dix ans du président des refondateurs à la tête du pays.
Les élections de 2010 le boutent du fauteuil présidentiel, Alasane Ouattara, épaulé par le Pdci, l’Udpci, le Mfa prend les rênes, et rebelote, le Fpi s’engage à nouveau dans son jeu favori : le désordre, ponctué par trois mois de grave crise politico-militaire. L’ouragan passé, l’actuel chef de l’Etat est au travail, malheureusement, des oiseaux de mauvaises augures, aidés de certaines personnes tapies dans l’ombre et vivant dans des pays voisins veulent coute que coute ternir l’image de la Côte d’Ivoire veulent compromettre. Que ces derniers comprennent que la Côte d’Ivoire est une et indivisible, car « qui crache là haut doit s’attendre à recevoir des gouttes de salives sur le nez. On les voit mais ceux qui activent le feu verront un jour leur case brûlé ».Les Ivoiriens épris de paix et le président Alassane Ouattara avancent droit vers le développement. Le train est en marche, alors pourquoi ne pas l’emprunter au bon moment.
Yann Dominique N’guessan
Comme le disait l’autre, «les militants du Fpi fonctionnent comme un nourrisson. Lorsqu’il a faim, il pleure, lorsqu’il a l’embonpoint, il pleure, lorsqu’il doit s’endormir, il pleure, à son réveil, il pleure, malgré tous les soins dont il fait l’objet de la part de ses parents ». Dans les années 90, le Fpi et ses militants, dans l’opposition, déclenchent les hostilités, prétextant le début d’une nouvelle ère : la démocratie. Ce vent venu de l’Est essaie d’imposer son effet dévastateur; qui secoue toute l’Afrique noire. Et la Côte d’Ivoire n’est pas en reste. Ainsi, le président Félix Houphouët-Boigny libéra alors à son tour la démocratie. Une démocratie mal appréciée par le Fpi qui donne dans du dilatoire. Débutent alors des troubles, des violences indescriptibles du fait de ce parti, on assiste à des manifestations de tout genre avec son corollaire de casses, de grèves intempestives, de tueries. Des activistes se mettent en place, nait une sorte de guérilla estudiantine appelée Fesci. C’est le comble, la Côte d’Ivoire est en ébullition ; malgré les appels aux leaders de gauche à la raison, ainsi que la main tendue du président Houphouët-Boigny, rien ni fit. L e désordre s’installe, jusqu’au décès du père fondateur le 7 décembre 1993. Malgré ce deuil national, qui touchait le monde entier, Gbagbo Laurent et le Fpi continuaient de sévir. La cerise sur le gâteau fut le coup d’Etat du 24 décembre 1999 qui emporta Bédié et le Pdci, parti au pouvoir d’alors. Et depuis cette date la Côte d’Ivoire n’a pas encore retrouvé sa quiétude, jusqu’au mandat calamiteux de dix ans du président des refondateurs à la tête du pays.
Les élections de 2010 le boutent du fauteuil présidentiel, Alasane Ouattara, épaulé par le Pdci, l’Udpci, le Mfa prend les rênes, et rebelote, le Fpi s’engage à nouveau dans son jeu favori : le désordre, ponctué par trois mois de grave crise politico-militaire. L’ouragan passé, l’actuel chef de l’Etat est au travail, malheureusement, des oiseaux de mauvaises augures, aidés de certaines personnes tapies dans l’ombre et vivant dans des pays voisins veulent coute que coute ternir l’image de la Côte d’Ivoire veulent compromettre. Que ces derniers comprennent que la Côte d’Ivoire est une et indivisible, car « qui crache là haut doit s’attendre à recevoir des gouttes de salives sur le nez. On les voit mais ceux qui activent le feu verront un jour leur case brûlé ».Les Ivoiriens épris de paix et le président Alassane Ouattara avancent droit vers le développement. Le train est en marche, alors pourquoi ne pas l’emprunter au bon moment.
Yann Dominique N’guessan