Bonjour à vous tous, aigris, jaloux, esprits maléfiques, qui vous débattez pour créer un conflit entre le Premier ministre et le président de la République.
Merci de jouer les aveugles et sourd-muet pour ne ni voir, ni entendre ce qui se fait et se dit depuis la nomination de Jeannot Ahoussou-Kouadio à la Primature. Vous êtes tellement emballés et envoûtés les dénigrements, la délation, les torpilles, la méchanceté et la sorcellerie, que le chef du gouvernement vous apparait comme un moins que rien, un simple faire-valoir, un amorphe.
Votre maladie est très profonde en ce sens que vous n’arrivez plus à discerner le vrai de l’ivraie. Tellement pressés de le descendre que vous confondez coca-cola et kaka collé.
Et s’ils contiennent le même ‘’mour’’, sachez que tambour et amour sont très différents. Votre idée, c’est de voir un Premier ministre qui vocifère à longueur de journées, sur tous les sujets, comme Affi N’Guessan l’a fait le 19 septembre 2002, en accusant, quelques heures après le déclenchement de la crise, des personnalités dont certains ont été, par la suite, assassinées quand d’autres, plus chanceux, se sont retrouvés dans des ambassades, échappant de justesse aux tueurs au nombre desquels le sanguinaire et tortionnaire Séka Séka. Mesdames et messieurs les oiseaux de malheur, souffrez que Jeannot Ahoussou-Kouadio, homme d’Etat, sage à souhait, prenne le temps et la mesure nécessaire avant d’agir.
En un mot, c’est, et à l’image du président de la République, l’efficacité dans la discrétion.
En parlant de ce monsieur comme vous le faites, vous montrez clairement votre volonté de le salir pour, certainement, le pousser vers la sortie. C’est vrai, en politique, le mutisme ne paie pas. Mais, dans le cas d’espèce, pourquoi voulez-vous que le Premier ministre joue le même morceau que jouent déjà, merveilleusement, ses collaborateurs que sont les ministres qui gèrent, chacun, un département bien déterminé, avec des missions bien précises.
Pourquoi voulez-vous que JAK soit forcément au premier plan quand il s’agit, par exemple, de sécurité, de défense ou d’enseignement supérieur ? A quoi serait-il utile alors d’avoir une équipe gouvernementale. Non, le rôle d’un chef de gouvernement est bien plus la coordination que l’exécution des taches, qui relèvent des ministres.
Le président de la République, lui, trace les grandes lignes, instruit le Premier ministre qui, à son tour, impulse l’action au niveau des différents ministères. Cela, il l’a fait, dès sa prise de fonction, avec le ministre Dagobert Banzio, dans le cadre de la lutte contre la vie chère.
Et chaque fois que cela est nécessaire, il traduit, de par sa présence ou des interventions opportunes, sa volonté de voir la gouvernance aller dans le sens indiqué par le N°1 de l’Exécutif. Selon les besoins, il effectue des voyages à l’extérieur, pour parachever ce que le Président a engagé. Quand un Premier ministre fait tout cela, et avec dextérité, je ne comprends pas du tout comment des gens censés peuvent lui en vouloir au point de chercher à le mettre, coûte que coûte, en porte-à-faux avec le président de la République. Votre diabolique plan est connu.
Mais, la probabilité de le voir prospérer me parait très maigre. Parce que, pour Alassane Ouattara, ce qui compte, c’est le travail et non le vuvuzela. La diversion ne passera pas aussi facilement que le rêvez. Esprits rétrogrades, réfléchissez encore à d’autres stratégies de déstabilisation. Sinon…Bonne journée !!
MASS DOMI
Merci de jouer les aveugles et sourd-muet pour ne ni voir, ni entendre ce qui se fait et se dit depuis la nomination de Jeannot Ahoussou-Kouadio à la Primature. Vous êtes tellement emballés et envoûtés les dénigrements, la délation, les torpilles, la méchanceté et la sorcellerie, que le chef du gouvernement vous apparait comme un moins que rien, un simple faire-valoir, un amorphe.
Votre maladie est très profonde en ce sens que vous n’arrivez plus à discerner le vrai de l’ivraie. Tellement pressés de le descendre que vous confondez coca-cola et kaka collé.
Et s’ils contiennent le même ‘’mour’’, sachez que tambour et amour sont très différents. Votre idée, c’est de voir un Premier ministre qui vocifère à longueur de journées, sur tous les sujets, comme Affi N’Guessan l’a fait le 19 septembre 2002, en accusant, quelques heures après le déclenchement de la crise, des personnalités dont certains ont été, par la suite, assassinées quand d’autres, plus chanceux, se sont retrouvés dans des ambassades, échappant de justesse aux tueurs au nombre desquels le sanguinaire et tortionnaire Séka Séka. Mesdames et messieurs les oiseaux de malheur, souffrez que Jeannot Ahoussou-Kouadio, homme d’Etat, sage à souhait, prenne le temps et la mesure nécessaire avant d’agir.
En un mot, c’est, et à l’image du président de la République, l’efficacité dans la discrétion.
En parlant de ce monsieur comme vous le faites, vous montrez clairement votre volonté de le salir pour, certainement, le pousser vers la sortie. C’est vrai, en politique, le mutisme ne paie pas. Mais, dans le cas d’espèce, pourquoi voulez-vous que le Premier ministre joue le même morceau que jouent déjà, merveilleusement, ses collaborateurs que sont les ministres qui gèrent, chacun, un département bien déterminé, avec des missions bien précises.
Pourquoi voulez-vous que JAK soit forcément au premier plan quand il s’agit, par exemple, de sécurité, de défense ou d’enseignement supérieur ? A quoi serait-il utile alors d’avoir une équipe gouvernementale. Non, le rôle d’un chef de gouvernement est bien plus la coordination que l’exécution des taches, qui relèvent des ministres.
Le président de la République, lui, trace les grandes lignes, instruit le Premier ministre qui, à son tour, impulse l’action au niveau des différents ministères. Cela, il l’a fait, dès sa prise de fonction, avec le ministre Dagobert Banzio, dans le cadre de la lutte contre la vie chère.
Et chaque fois que cela est nécessaire, il traduit, de par sa présence ou des interventions opportunes, sa volonté de voir la gouvernance aller dans le sens indiqué par le N°1 de l’Exécutif. Selon les besoins, il effectue des voyages à l’extérieur, pour parachever ce que le Président a engagé. Quand un Premier ministre fait tout cela, et avec dextérité, je ne comprends pas du tout comment des gens censés peuvent lui en vouloir au point de chercher à le mettre, coûte que coûte, en porte-à-faux avec le président de la République. Votre diabolique plan est connu.
Mais, la probabilité de le voir prospérer me parait très maigre. Parce que, pour Alassane Ouattara, ce qui compte, c’est le travail et non le vuvuzela. La diversion ne passera pas aussi facilement que le rêvez. Esprits rétrogrades, réfléchissez encore à d’autres stratégies de déstabilisation. Sinon…Bonne journée !!
MASS DOMI