Le président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro a salué les efforts du Gouvernement pour avoir transmis avec diligence et dans les délais constitutionnels le projet de loi de finances portant sur le budget de l’Etat pour l’année 2013. C’était lors de son discours d’ouverture de la deuxième session ordinaire de l’Hémicycle, le mercredi 3 octobre, à la fondation Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro, en présence du Premier Ministre, Me Jeannot Kouadio-Ahoussou. Guillaume Soro a salué la présence du chef du Gouvernement et d’autres membres du Gouvernement, la mettant au compte de « l’intelligente collaboration qui doit exister entre les divers démembrements du pouvoir. »
La transmission de la loi de finances 2013 dans les délais représente pour le Président de l’Assemblée nationale un acte de bonne gouvernance qui va permettre au Parlement d’examiner avec minutie, les projets de recettes et de dépenses de l’Etat pour l’année prochaine. Cela annonce ainsi le retour à l’orthodoxie budgétaire qui veut que l’Exécutif présente, selon les termes de la constitution ivoirienne, le projet de lois de finances lors de la deuxième session ordinaire de la Représentation nationale qui s’ouvre en octobre.
Même si pour le titulaire du Perchoir, l’Exécutif et l’Assemblée nationale ont des moyens d’intervention différents, il n’en demeure pas moins vrai que la prise en charge des défis du développement du pays et les défis de bien-être de l’ensemble de la population, restent pour les deux pouvoirs, des objectifs communs.
« Les questions essentielles de la vie de la Nation nous interpellent tous au même titre », a insisté l’ancien Premier Ministre. Il a indiqué que cette session sera consacrée à l’examen du projet de loi de finances et à des séances d’information parlementaire portant sur les questions d’éducation, de pauvreté, d’emplois jeunes et de sécurité.
Sur cette dernière question, il a engagé le Gouvernement à corréler l’insécurité avec le chômage des jeunes. « Ne faudrait-il pas aborder la question de la sécurité parallèlement à celle de l’emploi des jeunes ? N’y a-t-il aucun lien entre l’insécurité grandissante et la précarisation dans nos contrées ? Certains jeunes ne voient-ils pas en cette arme un moyen de subsistance », s’est-il interrogé.
Pour y remédier il a plaidé pour l’accroissement des investissements de l’Etat dans le domaine agricole pour résorber le chômage des jeunes. En tout état de cause, il a promis le soutien du parlement au Gouvernement dans la poursuite de cet objectif. « Vous pouvez être assuré de notre engagement entier à vous accompagner dans ce véritable sacerdoce», a-t-il assuré au Premier Ministre.
La transmission de la loi de finances 2013 dans les délais représente pour le Président de l’Assemblée nationale un acte de bonne gouvernance qui va permettre au Parlement d’examiner avec minutie, les projets de recettes et de dépenses de l’Etat pour l’année prochaine. Cela annonce ainsi le retour à l’orthodoxie budgétaire qui veut que l’Exécutif présente, selon les termes de la constitution ivoirienne, le projet de lois de finances lors de la deuxième session ordinaire de la Représentation nationale qui s’ouvre en octobre.
Même si pour le titulaire du Perchoir, l’Exécutif et l’Assemblée nationale ont des moyens d’intervention différents, il n’en demeure pas moins vrai que la prise en charge des défis du développement du pays et les défis de bien-être de l’ensemble de la population, restent pour les deux pouvoirs, des objectifs communs.
« Les questions essentielles de la vie de la Nation nous interpellent tous au même titre », a insisté l’ancien Premier Ministre. Il a indiqué que cette session sera consacrée à l’examen du projet de loi de finances et à des séances d’information parlementaire portant sur les questions d’éducation, de pauvreté, d’emplois jeunes et de sécurité.
Sur cette dernière question, il a engagé le Gouvernement à corréler l’insécurité avec le chômage des jeunes. « Ne faudrait-il pas aborder la question de la sécurité parallèlement à celle de l’emploi des jeunes ? N’y a-t-il aucun lien entre l’insécurité grandissante et la précarisation dans nos contrées ? Certains jeunes ne voient-ils pas en cette arme un moyen de subsistance », s’est-il interrogé.
Pour y remédier il a plaidé pour l’accroissement des investissements de l’Etat dans le domaine agricole pour résorber le chômage des jeunes. En tout état de cause, il a promis le soutien du parlement au Gouvernement dans la poursuite de cet objectif. « Vous pouvez être assuré de notre engagement entier à vous accompagner dans ce véritable sacerdoce», a-t-il assuré au Premier Ministre.