YAMOUSSOUKRO - Le ministre ivoirien des Droits de l`homme et des Libertés publiques, Coulibaly Gnénéma Koné, a indiqué lundi que son pays s`est mis en règle vis-à-vis de de la Commission africaine des droits de l`homme et des peuples ( CADHP), à l`occasion de la clôture à Yamoussoukro (centre, 230 km d`Abidjan) de la 52ème session ordinaire et du 25ème anniversaire l`institution panafricaine de défense des droits humains.
"Ce double événement aura été un grand rendez-vous au cours duquel la Côte d`Ivoire a eu l`occasion de rejoindre le groupe des huit Etats en règle vis-à-vis de notre organisation quant à leur obligation de produire un rapport sur la situation des droits de l`homme et des peuples sur notre continent", s`est félicité le ministre Coulibaly Gnénéma.
Le rapport de la Côte d`Ivoire contenu dans un document de 53 pages a été lu dans ses grandes lignes par l`émissaire du gouvernement ivoirien devant les 11 commissaires de la CADHP.
Selon le ministre Coulibaly Gnénéma Koné, la Côte d`Ivoire qui entend promouvoir réellement les droits de l`homme a ratifié les 56 instruments juridiques internationaux liés au respect desdits droits dont la Charte africaine des droits de l`homme depuis 1992.
M. Coulibaly s`est engagé, au nom de la Côte d`Ivoire, à mener le combat pour les droits de l`homme.
"Qu`il me soit permis de prendre ici l`engagement de mon pays la Côte d`Ivoire, de son gouvernement avec à sa tête le président Alassane Ouattara, de mettre en pratique les recommandations faites aux peuples et aux nations après le bilan de 25 ans d`existence", a-t-il ajouté assurant que "la Côte d`Ivoire sera toujours à l`avant-garde du combat pour les droits de l`homme".
Il a indiqué que cela implique pour son pays de s`investir davantage dans la lutte contre l`impunité et toutes les atteintes aux droits humains qui mettent en mal le continent africain.
"Oui, il faut que les droits de l`homme deviennent une réalité pour tous les citoyens de toutes les nations, car c`est de cette façon que la paix et le développement seront réalisés sur le continent", a insisté M. Coulibaly, invitant gouvernants, institutions internationales, ONG et société civile à agir ensemble pour faire avancer l`histoire africaine à travers une avancée des droits de l`homme.
La 52ème session ordinaire de la CADHP a démarré le 9 octobre en présence du chef de l`Etat ivoirien.
"Ce double événement aura été un grand rendez-vous au cours duquel la Côte d`Ivoire a eu l`occasion de rejoindre le groupe des huit Etats en règle vis-à-vis de notre organisation quant à leur obligation de produire un rapport sur la situation des droits de l`homme et des peuples sur notre continent", s`est félicité le ministre Coulibaly Gnénéma.
Le rapport de la Côte d`Ivoire contenu dans un document de 53 pages a été lu dans ses grandes lignes par l`émissaire du gouvernement ivoirien devant les 11 commissaires de la CADHP.
Selon le ministre Coulibaly Gnénéma Koné, la Côte d`Ivoire qui entend promouvoir réellement les droits de l`homme a ratifié les 56 instruments juridiques internationaux liés au respect desdits droits dont la Charte africaine des droits de l`homme depuis 1992.
M. Coulibaly s`est engagé, au nom de la Côte d`Ivoire, à mener le combat pour les droits de l`homme.
"Qu`il me soit permis de prendre ici l`engagement de mon pays la Côte d`Ivoire, de son gouvernement avec à sa tête le président Alassane Ouattara, de mettre en pratique les recommandations faites aux peuples et aux nations après le bilan de 25 ans d`existence", a-t-il ajouté assurant que "la Côte d`Ivoire sera toujours à l`avant-garde du combat pour les droits de l`homme".
Il a indiqué que cela implique pour son pays de s`investir davantage dans la lutte contre l`impunité et toutes les atteintes aux droits humains qui mettent en mal le continent africain.
"Oui, il faut que les droits de l`homme deviennent une réalité pour tous les citoyens de toutes les nations, car c`est de cette façon que la paix et le développement seront réalisés sur le continent", a insisté M. Coulibaly, invitant gouvernants, institutions internationales, ONG et société civile à agir ensemble pour faire avancer l`histoire africaine à travers une avancée des droits de l`homme.
La 52ème session ordinaire de la CADHP a démarré le 9 octobre en présence du chef de l`Etat ivoirien.