A l’initiative de l’Union Interparlementaire, les députés ivoiriens sont en séminaire du 14 au 15 décembre 2012 autour du thème : « Le rôle du Parlement dans la promotion des droits de l’homme en Côte d’Ivoire ». Mme Sarra Sacko a présidé la cérémonie d’ouverture.
«La question des droits de l’homme préoccupe l’Etat de Côte d’Ivoire et son premier responsable, le Président de la République Alassane Ouattara. Qui dès son entrée en fonction a mis les droits de l’homme au rang des priorités nationales», a déclaré Mme Sarra Sako, vice-présidente de l’Assemblée nationale. Car, estime-telle, «le contexte international avec ces crises multiformes, les contextes nationaux avec leurs conflits spécifiques liés aux réveils des appartenances identitaires, aux revendications des minorités, des exclus de la croissance économique, des exclus de l’Etat-Nation, des réfugiés doublement exclus, obligent au quotidien à s’intéresser aux droits de l’homme». Bien avant le début des travaux, Martin Chingong, secrétaire général adjoint de l’UIP, a donné ses impressions sur la Côte d’Ivoire d’après-crise. «La Côte d’Ivoire est en train de se relever avec patience et persévérance de dures épreuves de son histoire socio-politique récente». De son constat, il ressort aussi que «la coexistence pacifique a été mise à mal, les institutions politiques, garantes de la stabilité et de la paix sociale, profondément déstabilisées, le tissu social s’est effiloché». C’est pourquoi, ledit séminaire permettra de passer au peigne les principales normes, les mécanismes internationaux et régionaux relatifs aux droits de l’homme mais surtout l’état des lieux des droits de l’homme en Côte d’Ivoire. Les parlementaires ivoiriens enregistrent pour ce séminaire, la présence de leurs pairs du Mali, du Burkina Faso, Bénin et de la Suisse.
K. Hyacinthe
«La question des droits de l’homme préoccupe l’Etat de Côte d’Ivoire et son premier responsable, le Président de la République Alassane Ouattara. Qui dès son entrée en fonction a mis les droits de l’homme au rang des priorités nationales», a déclaré Mme Sarra Sako, vice-présidente de l’Assemblée nationale. Car, estime-telle, «le contexte international avec ces crises multiformes, les contextes nationaux avec leurs conflits spécifiques liés aux réveils des appartenances identitaires, aux revendications des minorités, des exclus de la croissance économique, des exclus de l’Etat-Nation, des réfugiés doublement exclus, obligent au quotidien à s’intéresser aux droits de l’homme». Bien avant le début des travaux, Martin Chingong, secrétaire général adjoint de l’UIP, a donné ses impressions sur la Côte d’Ivoire d’après-crise. «La Côte d’Ivoire est en train de se relever avec patience et persévérance de dures épreuves de son histoire socio-politique récente». De son constat, il ressort aussi que «la coexistence pacifique a été mise à mal, les institutions politiques, garantes de la stabilité et de la paix sociale, profondément déstabilisées, le tissu social s’est effiloché». C’est pourquoi, ledit séminaire permettra de passer au peigne les principales normes, les mécanismes internationaux et régionaux relatifs aux droits de l’homme mais surtout l’état des lieux des droits de l’homme en Côte d’Ivoire. Les parlementaires ivoiriens enregistrent pour ce séminaire, la présence de leurs pairs du Mali, du Burkina Faso, Bénin et de la Suisse.
K. Hyacinthe