Le rideau est tombé, le lundi 22 octobre 2012, sur la 52ème session ordinaire de la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (CADHP) qui a débuté le mardi 9 octobre dernier à la Fondation Houphouët-Boigny de Yamoussoukro, sous la houlette du Président Alassane Ouattara et de son Ministre des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques, M. Gnénéma Mamadou Coulibaly.
«Je crois que la tenue de cette session nous a offert l’opportunité de faire savoir à la majorité des Ivoiriens et à la communauté internationale qu’en Côte d’Ivoire, on se soucie des droits de l’Homme. C’est difficile, mais on s’y attèle», a confié M. Gnénéma Mamadou Coulibaly au terme de ces assises qui ont été conclues par sept (7) résolutions. Il s’agit notamment de la nécessité d’élaborer des lignes directrices sur la garde à vue et la détention préventive en Afrique, sur le droit à un logement décent et la protection contre les expulsions forcées, sur la ratification du Protocole relatif à la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples portant création d’une Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, etc.
Le rapport final publié à la fin de la rencontre, reprenant les propos de la Présidente Catherine Dupe Atoki, souligne la nécessité pour la Commission Africaine, en tant que principale institution chargée de promouvoir et de protéger les droits de l’Homme sur le continent,de bénéficier d’un appui sans réserve de l’Union Africaine pour pouvoir être « plus efficace pendant les 25 prochaines années » (Ndr : la 52ème session était marquée par le 25ème anniversaire de la Commission).
Il convient de signaler que c’est au cours de cette session que la Côte d’Ivoire a présenté pour la première fois son rapport initial et cumulé sur la situation des droits de l’Homme et ce, depuis qu’elle a ratifié la Charte Africaine des Droits de l’Homme en 1992.
Au total, 565 délégués, dont 419 ONG internationales, 24 Institutions Nationales des Droits de l’Homme et 27 états parties etc… ont effectué le déplacement à Yamoussoukro afin de prendre part à la rencontre.
Service de communication et des relations publiques du Ministère des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques
«Je crois que la tenue de cette session nous a offert l’opportunité de faire savoir à la majorité des Ivoiriens et à la communauté internationale qu’en Côte d’Ivoire, on se soucie des droits de l’Homme. C’est difficile, mais on s’y attèle», a confié M. Gnénéma Mamadou Coulibaly au terme de ces assises qui ont été conclues par sept (7) résolutions. Il s’agit notamment de la nécessité d’élaborer des lignes directrices sur la garde à vue et la détention préventive en Afrique, sur le droit à un logement décent et la protection contre les expulsions forcées, sur la ratification du Protocole relatif à la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples portant création d’une Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, etc.
Le rapport final publié à la fin de la rencontre, reprenant les propos de la Présidente Catherine Dupe Atoki, souligne la nécessité pour la Commission Africaine, en tant que principale institution chargée de promouvoir et de protéger les droits de l’Homme sur le continent,de bénéficier d’un appui sans réserve de l’Union Africaine pour pouvoir être « plus efficace pendant les 25 prochaines années » (Ndr : la 52ème session était marquée par le 25ème anniversaire de la Commission).
Il convient de signaler que c’est au cours de cette session que la Côte d’Ivoire a présenté pour la première fois son rapport initial et cumulé sur la situation des droits de l’Homme et ce, depuis qu’elle a ratifié la Charte Africaine des Droits de l’Homme en 1992.
Au total, 565 délégués, dont 419 ONG internationales, 24 Institutions Nationales des Droits de l’Homme et 27 états parties etc… ont effectué le déplacement à Yamoussoukro afin de prendre part à la rencontre.
Service de communication et des relations publiques du Ministère des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques