l’immense président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire se trouve en ce moment hors du pays. A Paris où il s’épanouit depuis quelques jours, il s’est laissé aller à quelques ironies sur le sort de l’intrépide Gbagbo : «Il (Gbagbo) a eu tort de vouloir confisquer le pouvoir en 2011 et cela ne pardonne pas en politique» («Fraternité Matin», 31/10). Sur le sort de Gbagbo à la Cpi, Soro a dit : «S’il prend deux ans, il reviendra un jour, mais s’il prend 50 ans… » Une question : Et si Ouattara n’attend pas 50 ans pour rendre publiques les noms de ceux contre qui il existe en ce moment un mandat d’arrêt de la Cpi ?
DS
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