Abidjan - Le Front populaire ivoirien (FPI) se dit prêt à apporter son soutien à son secrétaire général par intérim, Laurent Akoun, à sa sortie de la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca), jeudi, en l’accompagnant à Memni, département d’Alépé, où il est assigné à purger six autres mois d’interdiction de séjour sur toute l’étendue du territoire national.
"Laurent Akoun sera accueilli, à sa sortie de prison, par une délégation de la direction du FPI accompagnée par la jeunesse du Front populaire ivoirien qui entend exprimer tout son soutien au SG Akoun, en l’accompagnant jusqu’à Memni, son village natal. Laurent Akoun devrait y purger ses six derniers mois de privation de droits civiques et d’exil intérieur imposés par la justice ivoirienne", selon une dépêche du secrétariat national de la communication (SNACOM) en date du 25 février.
Sauf changement de dernière minute, Laurent Akoun devra recouvrer la liberté le 28 février, au terme de six mois d’emprisonnement ferme à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca).
Le secrétaire général par intérim et porte-parole du FPI a été condamné le 31 août, à une peine privative de liberté par le tribunal d’Abidjan- Plateau, pour "trouble à l’ordre public", assortie d’un an de privation de droits civiques et d’un an d’interdiction de séjour sur tout le territoire national en dehors de son village natal.
Ce verdict de première instance a été confirmé en appel le 16 janvier, rappelle-t-on.
"Laurent Akoun sera accueilli, à sa sortie de prison, par une délégation de la direction du FPI accompagnée par la jeunesse du Front populaire ivoirien qui entend exprimer tout son soutien au SG Akoun, en l’accompagnant jusqu’à Memni, son village natal. Laurent Akoun devrait y purger ses six derniers mois de privation de droits civiques et d’exil intérieur imposés par la justice ivoirienne", selon une dépêche du secrétariat national de la communication (SNACOM) en date du 25 février.
Sauf changement de dernière minute, Laurent Akoun devra recouvrer la liberté le 28 février, au terme de six mois d’emprisonnement ferme à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca).
Le secrétaire général par intérim et porte-parole du FPI a été condamné le 31 août, à une peine privative de liberté par le tribunal d’Abidjan- Plateau, pour "trouble à l’ordre public", assortie d’un an de privation de droits civiques et d’un an d’interdiction de séjour sur tout le territoire national en dehors de son village natal.
Ce verdict de première instance a été confirmé en appel le 16 janvier, rappelle-t-on.