Abidjan, Le directeur exécutif du Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA), Dr Babatunde Osotimehin a promis lundi à la ministre ivoirienne de la Santé et de la Lutte contre le Sida, Raymonde Goudou-Coffie que l’agence onusienne va continuer d’accompagner la Côte d’Ivoire notamment dans sa politique en faveur de la santé de la reproduction.
Lors d’une visite effectuée à l’hôpital général de Marcory (HGM), un centre de référence qui a bénéficié de l’appui (réhabilitation de locaux, équipement, plan de réorganisation…) de l’UNFPA, Dr Babatunde s’est réjoui que HGM ait intégré dans les différents services toutes les activités recommandées par le Fonds.
Il a assuré que toutes les promesses qu’il a faites la veille à la ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida seront tenues, pour le bénéfice des populations.
Ces promesses, a rappelé pour sa part la ministre Raymonde Goudou-Coffie, concernent notamment la construction d’un bloc opératoire à HGM et l’appui des formations sanitaires ivoiriennes à travers la formation du personnel médical.
« Je sais que le directeur exécutif va les exécuter, je m’attends à une réponse entièrement favorable », a révélé la première responsable de la Santé qui s’était auparavant réjouie du fait que l’hôpital général de Marcory ait suivi à la lettre toutes les pratiques préconisées par l’UNFPA.
«Je n’ai aucune possibilité de réussir cette mission si vous ne m’accompagnez pas », a-t-elle en outre réitéré à l’endroit du personnel. « Des modèles comme ça, j’en voudrais tellement en Côte d’Ivoire », a expliqué Mme Goudou-Coffie, se disant admirative devant les gestionnaires des structures sanitaires tels ceux de HGM qui ont une vision claire et se préoccupent des besoins des populations.
« L’UNFPA a mis les outils qu’il fallait mais si le personnel ne se l’était pas approprié, l’hôpital général de Marcory serait à la traîne », a-t-elle dit.
Dirigé par Dr Kassi Julien, ce centre, créé en 1972, était alors une maternité. Devenu formation sanitaire urbaine en 1992, il a été érigé en hôpital général en 2007. HGM compte 158 agents dont 14 médecins. Tout comme le directeur qui, en marge de la cérémonie, avait relevé les récurrents problèmes d’eau et d’électricité et l’insuffisance du plateau technique, le médecin-chef, Dr Kacou Brice a réitéré à l’UNFPA la nécessité de doter HGM d’un bloc opératoire.
(AIP)
cmas
Lors d’une visite effectuée à l’hôpital général de Marcory (HGM), un centre de référence qui a bénéficié de l’appui (réhabilitation de locaux, équipement, plan de réorganisation…) de l’UNFPA, Dr Babatunde s’est réjoui que HGM ait intégré dans les différents services toutes les activités recommandées par le Fonds.
Il a assuré que toutes les promesses qu’il a faites la veille à la ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida seront tenues, pour le bénéfice des populations.
Ces promesses, a rappelé pour sa part la ministre Raymonde Goudou-Coffie, concernent notamment la construction d’un bloc opératoire à HGM et l’appui des formations sanitaires ivoiriennes à travers la formation du personnel médical.
« Je sais que le directeur exécutif va les exécuter, je m’attends à une réponse entièrement favorable », a révélé la première responsable de la Santé qui s’était auparavant réjouie du fait que l’hôpital général de Marcory ait suivi à la lettre toutes les pratiques préconisées par l’UNFPA.
«Je n’ai aucune possibilité de réussir cette mission si vous ne m’accompagnez pas », a-t-elle en outre réitéré à l’endroit du personnel. « Des modèles comme ça, j’en voudrais tellement en Côte d’Ivoire », a expliqué Mme Goudou-Coffie, se disant admirative devant les gestionnaires des structures sanitaires tels ceux de HGM qui ont une vision claire et se préoccupent des besoins des populations.
« L’UNFPA a mis les outils qu’il fallait mais si le personnel ne se l’était pas approprié, l’hôpital général de Marcory serait à la traîne », a-t-elle dit.
Dirigé par Dr Kassi Julien, ce centre, créé en 1972, était alors une maternité. Devenu formation sanitaire urbaine en 1992, il a été érigé en hôpital général en 2007. HGM compte 158 agents dont 14 médecins. Tout comme le directeur qui, en marge de la cérémonie, avait relevé les récurrents problèmes d’eau et d’électricité et l’insuffisance du plateau technique, le médecin-chef, Dr Kacou Brice a réitéré à l’UNFPA la nécessité de doter HGM d’un bloc opératoire.
(AIP)
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