Le directeur de cabinet adjoint du ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, Amichia Alexis, a invité, vendredi dernier, lors d’une rencontre avec la coopérative des femmes commerçantes de Roxy et Extension d'Adjamé, les vendeuses de médicaments de rue à "mettre fin immédiatement à ce commerce illégal et dangereux pour la santé des populations, au risque de subir la répression des pouvoirs publics, conformément à la lettre d'une note d’information, publiée par la cellule Communication dudit département. "La vente des médicaments, en dehors des officines (pharmacies) est interdite", a rappelé M. Amichia, soulignant que l'on ne peut pas faire vivre sa famille avec de la drogue", en réponse au justificatif selon lequel cette activité leur permettait de subvenir aux charges de leurs ménages, et qu'il faut que le gouvernement leur accorde un délai de grâce d’au moins 24 mois.
Entouré, pour la circonstance du directeur de la métrologie, du contrôle de la qualité et de la répression de la fraude, François Oulaï, ainsi que du conseiller chargé de la coordination et des dossiers spécifiques, Kébé Kanté, le collaborateur de Jean-Louis Billon a sagement proposé que ces dames se reconvertissent dans d’autres activités, légales, et autant rentables, les assurant de la disponibilité du gouvernement ivoirien à les y accompagner, en vue de leur reconvertion réussie.
Le président du conseil de l’ordre des pharmaciens de Côte d’Ivoire, présent à cette rencontre, a pour sa part insisté sur les effets dommageables de cette activité sur la vie des populations. Cette rencontre ferait suite à un incident qui se serait produit, le 4 avril dernier, sur le marché Roxy, dans la commune d’Adjamé, et qui a mis aux prises agents chargés du contrôle de la qualité et de la répression de la fraude et vendeuses de médicaments de rue, ces dernières ayant pris à partie les agents de l'Etat, pourtant en mission d'inspection.
Entouré, pour la circonstance du directeur de la métrologie, du contrôle de la qualité et de la répression de la fraude, François Oulaï, ainsi que du conseiller chargé de la coordination et des dossiers spécifiques, Kébé Kanté, le collaborateur de Jean-Louis Billon a sagement proposé que ces dames se reconvertissent dans d’autres activités, légales, et autant rentables, les assurant de la disponibilité du gouvernement ivoirien à les y accompagner, en vue de leur reconvertion réussie.
Le président du conseil de l’ordre des pharmaciens de Côte d’Ivoire, présent à cette rencontre, a pour sa part insisté sur les effets dommageables de cette activité sur la vie des populations. Cette rencontre ferait suite à un incident qui se serait produit, le 4 avril dernier, sur le marché Roxy, dans la commune d’Adjamé, et qui a mis aux prises agents chargés du contrôle de la qualité et de la répression de la fraude et vendeuses de médicaments de rue, ces dernières ayant pris à partie les agents de l'Etat, pourtant en mission d'inspection.