Santé / 2ème édition du salon international de cardiologie : Les professionnels veulent mettre en exergue les capacités de la cardiologie

L’ordre des pharmaciens et celui des médecins a tenu, le mercredi 17 avril 2013, une conférence de presse à l’Hôtel Pullman au Plateau. C’était en prélude à la 2ème édition du salon de la santé (Saidalya) qui sera organisée, du 24 au 26 avril 2013, par la Société Ivoirienne de Cardiologie et l’Institut de Cardiologie de Côte d’Ivoire et conjointement avec la société tunisienne de cardiologie et des cardiologues marocains à Abidjan. Cette cérémonie, co-présentée par Maurice Kakou Guikahué, médecin cardiologue et Charles Boguifo, vice-président de l’ordre des pharmaciens visait comme objectif de confirmer l’évènement majeur dans le domaine de la santé, notamment le congrès international de la cardiologie et aussi consolider les bases qui ont été mises en place depuis la première édition. «L’idée est d’intégrer la thématique de la cardiologie dans le cadre du salon international de la santé. Le choix est porté sur la cardiologie pour assurer le recyclage des élèves stagiaires de la cardiologie formés en Côte d’Ivoire. Cette occasion permettra aux professionnels d’améliorer leur connaissance dans le domaine de la cardiologie. Le thème choisi pour cette deuxième édition du congrès. L’évolution des cardiologues en Afrique. Nous voulons aussi faire un inventaire pour voir la capacité de la cardiologie», a indiqué Maurice Kakou Guikahué. «Par cette cérémonie, nous voulons confirmer l’évènement majeur dans le domaine de la santé notamment le congrès de la santé. L’année 2013 est l’année de la santé, l’évènement qui permettra de réunir à Abidjan, les médecins et les pharmaciens», a ajouté Charles Boguifo, vice-président de l’ordre des pharmaciens. Le deuxième congrès du salon international aura pour but d’étudier les possibilités de produire certaines gammes de produits pharmaceutiques en Côte d’Ivoire, d’analyser les possibilités d’implantations de projets mixtes dans le secteur des cliniques et des centres d’exploration et aussi de faciliter la mobilité des étudiants et des stagiaires ainsi que le transfert du savoir-faire.

S.P