Nul besoin d’être alchimiste et de prolonger son espérance de vie grâce à la pierre philosophale ou à un élixir de longue vie. Il suffit de manger du poisson ! C’est ce que révèle une étude menée par des chercheurs de l’université de Harvard et de l’université de l’État de Washington, publiée le 1er avril dans la revue en ligne Annals of Internal Medicine et repérée par le Huffington Post.
Quelques 2.700 personnes âgées de 65 ans ont été suivies pendant 16 ans, et étaient généralement en bonne santé au commencement de l’étude. Celles qui consommaient du poisson vivaient en moyenne 2,2 années de plus que les autres. Elles réduisaient ainsi de 27% leurs risques de décéder quelle que soit la cause, et jusqu’à 35% ceux imputables aux maladies cardiovasculaires. Ce sont les oméga-3, des acides gras polyinsaturés présents en grande quantité dans certains poissons gras, qui seraient à l’origine de cette longévité accrue.
«La consommation de poissons riches en acide gras est considérée depuis longtemps comme une nourriture saine mais peu de recherches avaient évalué jusqu’alors les effets bénéfiques des oméga-3 pour la santé d’adultes plus âgés», expliquent les chercheurs, affirmant que l’étude «laisse penser que, plus tard dans la vie, ces bienfaits pourraient en fait prolonger le nombre d’années restant à vivre».
Quelques 2.700 personnes âgées de 65 ans ont été suivies pendant 16 ans, et étaient généralement en bonne santé au commencement de l’étude. Celles qui consommaient du poisson vivaient en moyenne 2,2 années de plus que les autres. Elles réduisaient ainsi de 27% leurs risques de décéder quelle que soit la cause, et jusqu’à 35% ceux imputables aux maladies cardiovasculaires. Ce sont les oméga-3, des acides gras polyinsaturés présents en grande quantité dans certains poissons gras, qui seraient à l’origine de cette longévité accrue.
«La consommation de poissons riches en acide gras est considérée depuis longtemps comme une nourriture saine mais peu de recherches avaient évalué jusqu’alors les effets bénéfiques des oméga-3 pour la santé d’adultes plus âgés», expliquent les chercheurs, affirmant que l’étude «laisse penser que, plus tard dans la vie, ces bienfaits pourraient en fait prolonger le nombre d’années restant à vivre».
