La Première dame ivoirienne, Dominique Ouattara s’est inquiétée samedi à Man (près de 600 km à l’Ouest d’Abidjan) du phénomène des grossesses précoces en milieu scolaire qui constitue selon elle, une menace pour l’avenir de la femme en Côte d’Ivoire.
‘' L'important taux des grossesses précoces dans nos écoles est une menace pour l'avenir de la femme dans notre pays et nous devons agir sans attendre'', a déclaré Dominique Ouattara lors de l'inauguration de la salle multimédia du collège moderne des jeunes filles de Man qui porte son nom.
‘'Tous, à nos niveaux respectifs, élèves, parents d'élèves, enseignants devons nous impliquer activement et dénoncer les abus sexuels en milieu scolaire'', a exhorté la Première dame, soulignant que ‘'c'est en brisant le silence que nous en viendrons à bout''.
Elle a dans la même foulée, exhorté ses filleules à rester concentrées sur leurs études et à éviter par tous les moyens, les grossesses précoces qui sont un frein à leur réussite scolaire et sociale.
Pour Dominique Ouattara, une fois bien insérées dans la vie active, ces filles pourraient avoir des enfants et mener leur vie de femme de ‘'manière épanouie''.
Les dernières statistiques du Programme national de la santé scolaire et universitaire (PNSSU) font état de 3 191 cas de grossesses précoces recensés dans les lycées et collèges du pays en 2010.
MBD/ls/APA
‘' L'important taux des grossesses précoces dans nos écoles est une menace pour l'avenir de la femme dans notre pays et nous devons agir sans attendre'', a déclaré Dominique Ouattara lors de l'inauguration de la salle multimédia du collège moderne des jeunes filles de Man qui porte son nom.
‘'Tous, à nos niveaux respectifs, élèves, parents d'élèves, enseignants devons nous impliquer activement et dénoncer les abus sexuels en milieu scolaire'', a exhorté la Première dame, soulignant que ‘'c'est en brisant le silence que nous en viendrons à bout''.
Elle a dans la même foulée, exhorté ses filleules à rester concentrées sur leurs études et à éviter par tous les moyens, les grossesses précoces qui sont un frein à leur réussite scolaire et sociale.
Pour Dominique Ouattara, une fois bien insérées dans la vie active, ces filles pourraient avoir des enfants et mener leur vie de femme de ‘'manière épanouie''.
Les dernières statistiques du Programme national de la santé scolaire et universitaire (PNSSU) font état de 3 191 cas de grossesses précoces recensés dans les lycées et collèges du pays en 2010.
MBD/ls/APA