L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a exprimé lundi l’urgence de la révision et de l’actualisation des contenus de la vaccination en Afrique, "qui constitue une porte de suivie de la formation en science de la santé", au cours de l’atelier sur la révision des curricula de formation relatifs à la vaccination pour les agents de santé de la région africaine qui se tient du lundi au vendredi à Grand-Bassam (sud-est, région du Sud-Comoé).
"Les préoccupations les plus partagées actuellement dans ces pays, c’est la relance des activités de nos plans nationaux de développement sanitaires en vue de l’atteinte des objectifs du Millénaire pour le développement, dont l’échéance arrive en 2015 et les ressources humaines pour la santé constituent la cheville ouvrière", a signifié le représentant de l’OMS en Côte d’Ivoire Dr Allarangar Yokouidé.
Il a pour ce fait, rappelé que "l’actuelle formation en science de la santé doit fournir aux étudiants des connaissances et techniques sophistiquées et informatisées", car selon lui le succès des politiques et stratégies sanitaires repose sur les agents du domaine.
Les raisons qui ont motivé la tenue de cet atelier sont entres autres les innovations au niveau des changements immunologiques et vaccinologiques, les prestations et la gestion des services de vaccination, les modules de formation en gestion des programmes élargis de vaccinations (PEV) au niveau intermédiaire et le secteur de surveillance des maladies évitables par vaccination.
L’objectif est "d’assurer la durabilité de la formation et de maintenir un niveau élevé des compétences des agents de santé, "afin de permettre aux personnels de santé qui sortent des facultés et écoles de formation d’avoir le même niveau de formation et d’information que ceux qui sont déjà sur le terrain".
Remerciant le gouvernement ivoirien et les partenaires, Dr Allarangar a exprimé son souhait pour "un renforcement des programmes de vaccinations au sein de la région Africaine à travers la participation des séminaristes".
Le ministre de la Santé et de la lutte contre le SIDA par la voix de Niangué Joseph, a salué ce séminaire qui est" une opportunité qui permettra aux directeurs des écoles de santé de mettre à jour les connaissances en matière de PEV afin de favoriser l’adéquation formation/emploi des futures professionnels de santé".
Elle a tenu a rassuré les organisateurs dudit atelier que "les résultats seront mis à profit pour contribuer au renforcement du PEV afin d’atteindre le taux de couverture vaccinale exigé dans le cadre de l’éligibilité des programmes bilatéraux d’appui tels que la Millénium challenge corporation".
L’atelier réunit 27 pays africains et est conjointement financé et facilité par l’OMS (AFRO et ISTS), l’UNICEF, l’USAID- MCHIP, NESI (Réseau pour l'éducation et le soutien à l'immunisation) et l’AMP (Alliance pour la médecine préventive).
(AIP)
en/kam
"Les préoccupations les plus partagées actuellement dans ces pays, c’est la relance des activités de nos plans nationaux de développement sanitaires en vue de l’atteinte des objectifs du Millénaire pour le développement, dont l’échéance arrive en 2015 et les ressources humaines pour la santé constituent la cheville ouvrière", a signifié le représentant de l’OMS en Côte d’Ivoire Dr Allarangar Yokouidé.
Il a pour ce fait, rappelé que "l’actuelle formation en science de la santé doit fournir aux étudiants des connaissances et techniques sophistiquées et informatisées", car selon lui le succès des politiques et stratégies sanitaires repose sur les agents du domaine.
Les raisons qui ont motivé la tenue de cet atelier sont entres autres les innovations au niveau des changements immunologiques et vaccinologiques, les prestations et la gestion des services de vaccination, les modules de formation en gestion des programmes élargis de vaccinations (PEV) au niveau intermédiaire et le secteur de surveillance des maladies évitables par vaccination.
L’objectif est "d’assurer la durabilité de la formation et de maintenir un niveau élevé des compétences des agents de santé, "afin de permettre aux personnels de santé qui sortent des facultés et écoles de formation d’avoir le même niveau de formation et d’information que ceux qui sont déjà sur le terrain".
Remerciant le gouvernement ivoirien et les partenaires, Dr Allarangar a exprimé son souhait pour "un renforcement des programmes de vaccinations au sein de la région Africaine à travers la participation des séminaristes".
Le ministre de la Santé et de la lutte contre le SIDA par la voix de Niangué Joseph, a salué ce séminaire qui est" une opportunité qui permettra aux directeurs des écoles de santé de mettre à jour les connaissances en matière de PEV afin de favoriser l’adéquation formation/emploi des futures professionnels de santé".
Elle a tenu a rassuré les organisateurs dudit atelier que "les résultats seront mis à profit pour contribuer au renforcement du PEV afin d’atteindre le taux de couverture vaccinale exigé dans le cadre de l’éligibilité des programmes bilatéraux d’appui tels que la Millénium challenge corporation".
L’atelier réunit 27 pays africains et est conjointement financé et facilité par l’OMS (AFRO et ISTS), l’UNICEF, l’USAID- MCHIP, NESI (Réseau pour l'éducation et le soutien à l'immunisation) et l’AMP (Alliance pour la médecine préventive).
(AIP)
en/kam