Abidjan (Côte d’Ivoire)- L’arrestation le samedi dernier du Chef milicien, Ouédraogo Amadé Rémi alias ‘’Amadé Ouérémi’’ dans la forêt du Mont Péko à l’Ouest de la Côte d’Ivoire a été qualifiée lundi par la presse ‘’bleue’’, proche de l’ancien régime de Laurent Gbagbo, de ‘’comédie du régime Ouattara’’.
Pour Le Quotidien d’Abidjan, le Seigneur de guerre burkinabé a été traité comme un prince à Abidjan et ‘’pourtant il a tué, volé, violé et pillé’’. Dénonçant un trafic illicite de cacao et d’or, ce quotidien voit en cette affaire, un deal entre Blaise Compaoré et Alassane Ouattara.
Notre Voie, le journal officiel du Front populaire ivoirien (FPI), tout en soulignant le rôle de l’armée française, qualifie cette arrestation de ‘’comédie du régime Ouattara’’.
Dans Le Nouveau Courrier, Amadé Ouérémi impute son arrestation à sa nationalité. ‘’C’est par ce que je ne suis pas ivoirien…’’, écrit ce journal en citant M. Ouérémi.
Ouattara arrête Amadé Ouérémi pour protéger les ex-Commandants de Zone, estime le journal Aujourd’hui.
‘’Le Mercenaire Amadé Ouérémi enfin arrêté’’, se félicite Le Temps, autre journal pro-Gbagbo qui présente le film d’une ‘’étrange opération’’.
Sur cette arrestation d’Amadé Ouérémi, Fraternité Matin,le quotidien à capitaux publics parle des ‘’regrets du maître du Mont Péko’’, quand, Le Jour Plus compare en ‘’Une’’, Amadé Ouérémi à Laurent Gbagbo après son arrestation, samedi : ‘’Ne me tuez pas’’, a-t-il lancé.
Dans les colonnes de Soir Info, le Chef milicien s’adresse au Président Alassane Ouattara : ‘’Il faut penser à mes 6 femmes et 17 enfants’’, quand le Préfet de Bangolo rassure de son côté qu’une ‘’nouvelle action militaire sera engagée’’.
Emboitant le pas à Soir Info, L’Inter revient sur le film de l’arrestation d’Amadé Ouérémi en s’appuyant sur le récit d’un proche du ministre délégué à la défense, Paul Koffi Koffi. Ce journal alerte sur une crise humanitaire dans la région.
‘’Amadé Ouérémi délogé du Mont Péko’’, titre Le Nouveau Réveil qui ironisant, s’interroge ‘’où sont donc passés les hommes du Chef de guerre ?’’. L’Intelligent d’Abidjan salue pour sa part la ‘’fin de dix années de cache-cache’’.
De son côté, Le Mandat révèle le nom de l’opération qui a permis de libérer le Mont Péko. Il s’agit selon le confrère de l’opération ‘’panthère’’ qui a maitrisé Amadé Ouérémi. ‘’Boribana (en Malinké, la fuite est terminée) pour Amadé Ouérémie’’, renchérit La Matinale.
Après son transfèrement à Abidjan, Amadé Ouérémi parle, écrit Nord Sud Quotidien qui semble connaitre son lieu de détention et le film de sa capture.
Soupçonné par plusieurs organisations de défense des droits de l’Homme, de graves crimes contre l’humanité, M. Ouérémi d’origine burkinabé a été arrêté samedi dans la forêt du Mont Péko qu’il occupe depuis des années.
Il a été conduit dans le principal camp militaire de Duékoué, la capitale de la région du Guémon après son arrestation dans le village de Bagohouo. Le désarmement de ses hommes a ‘’immédiatement’’ suivi son arrestation.
Des soldats du Bataillon de sécurisation de l’Ouest (BSO), dirigé par le Commandant Losseni Fofana dit ‘’Loss’’ ont lancé jeudi une offensive sur la forêt du Mont Péko où se trouvait Amadé Ouérémi avec ses miliciens, estimés à plus d’une centaine.
Depuis les années 2000, M. Ouérémi défiait l’autorité de l’Etat dans cette forêt devenue sa ‘’chasse gardée’’ où il cultivait notamment le cacao dont la Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial.
Amadé Ouérémi a été un supplétif des forces pro-Ouattara quand celles-ci étaient engagées dans la bataille armée post électorale de décembre 2010 à avril 2011 face aux soldats et mercenaires proches du régime de Laurent Gbagbo.
Le 2ème anniversaire de l’investiture du Président Alassane Ouattara occupe également une place de choix dans les colonnes des journaux parus ce jour sur l’ensemble du territoire national.
’’21 mai 2011-21 mai 2013, il y a deux ans l’investiture du Président Alassane Ouattara’’, titre en ‘’Une’’, Fraternité Matin, soulignant que ‘’c’est un jour historique’’. Ce quotidien, salue également le début de la concrétisation des promesses faites à cette occasion.
Pour Le Quotidien d’Abidjan, le Seigneur de guerre burkinabé a été traité comme un prince à Abidjan et ‘’pourtant il a tué, volé, violé et pillé’’. Dénonçant un trafic illicite de cacao et d’or, ce quotidien voit en cette affaire, un deal entre Blaise Compaoré et Alassane Ouattara.
Notre Voie, le journal officiel du Front populaire ivoirien (FPI), tout en soulignant le rôle de l’armée française, qualifie cette arrestation de ‘’comédie du régime Ouattara’’.
Dans Le Nouveau Courrier, Amadé Ouérémi impute son arrestation à sa nationalité. ‘’C’est par ce que je ne suis pas ivoirien…’’, écrit ce journal en citant M. Ouérémi.
Ouattara arrête Amadé Ouérémi pour protéger les ex-Commandants de Zone, estime le journal Aujourd’hui.
‘’Le Mercenaire Amadé Ouérémi enfin arrêté’’, se félicite Le Temps, autre journal pro-Gbagbo qui présente le film d’une ‘’étrange opération’’.
Sur cette arrestation d’Amadé Ouérémi, Fraternité Matin,le quotidien à capitaux publics parle des ‘’regrets du maître du Mont Péko’’, quand, Le Jour Plus compare en ‘’Une’’, Amadé Ouérémi à Laurent Gbagbo après son arrestation, samedi : ‘’Ne me tuez pas’’, a-t-il lancé.
Dans les colonnes de Soir Info, le Chef milicien s’adresse au Président Alassane Ouattara : ‘’Il faut penser à mes 6 femmes et 17 enfants’’, quand le Préfet de Bangolo rassure de son côté qu’une ‘’nouvelle action militaire sera engagée’’.
Emboitant le pas à Soir Info, L’Inter revient sur le film de l’arrestation d’Amadé Ouérémi en s’appuyant sur le récit d’un proche du ministre délégué à la défense, Paul Koffi Koffi. Ce journal alerte sur une crise humanitaire dans la région.
‘’Amadé Ouérémi délogé du Mont Péko’’, titre Le Nouveau Réveil qui ironisant, s’interroge ‘’où sont donc passés les hommes du Chef de guerre ?’’. L’Intelligent d’Abidjan salue pour sa part la ‘’fin de dix années de cache-cache’’.
De son côté, Le Mandat révèle le nom de l’opération qui a permis de libérer le Mont Péko. Il s’agit selon le confrère de l’opération ‘’panthère’’ qui a maitrisé Amadé Ouérémi. ‘’Boribana (en Malinké, la fuite est terminée) pour Amadé Ouérémie’’, renchérit La Matinale.
Après son transfèrement à Abidjan, Amadé Ouérémi parle, écrit Nord Sud Quotidien qui semble connaitre son lieu de détention et le film de sa capture.
Soupçonné par plusieurs organisations de défense des droits de l’Homme, de graves crimes contre l’humanité, M. Ouérémi d’origine burkinabé a été arrêté samedi dans la forêt du Mont Péko qu’il occupe depuis des années.
Il a été conduit dans le principal camp militaire de Duékoué, la capitale de la région du Guémon après son arrestation dans le village de Bagohouo. Le désarmement de ses hommes a ‘’immédiatement’’ suivi son arrestation.
Des soldats du Bataillon de sécurisation de l’Ouest (BSO), dirigé par le Commandant Losseni Fofana dit ‘’Loss’’ ont lancé jeudi une offensive sur la forêt du Mont Péko où se trouvait Amadé Ouérémi avec ses miliciens, estimés à plus d’une centaine.
Depuis les années 2000, M. Ouérémi défiait l’autorité de l’Etat dans cette forêt devenue sa ‘’chasse gardée’’ où il cultivait notamment le cacao dont la Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial.
Amadé Ouérémi a été un supplétif des forces pro-Ouattara quand celles-ci étaient engagées dans la bataille armée post électorale de décembre 2010 à avril 2011 face aux soldats et mercenaires proches du régime de Laurent Gbagbo.
Le 2ème anniversaire de l’investiture du Président Alassane Ouattara occupe également une place de choix dans les colonnes des journaux parus ce jour sur l’ensemble du territoire national.
’’21 mai 2011-21 mai 2013, il y a deux ans l’investiture du Président Alassane Ouattara’’, titre en ‘’Une’’, Fraternité Matin, soulignant que ‘’c’est un jour historique’’. Ce quotidien, salue également le début de la concrétisation des promesses faites à cette occasion.