Abidjan – Des Premières dames d’Afrique ont été invitées samedi, à s’engager davantage dans la lutte contre le Vih/Sida, au cours d’un symposium international organisé dans le hall annexe du Pacifico Hotel de Yokohama (Japon) en marge de la Conférence TICAD 5.
Ce symposium qui avait pour thème : "parlons du Sida : les défis communs de l’Afrique et du Japon", a réuni une quinzaine de Première dames africaines dont celle de la Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara, du Japon, Mme Akie Abe, ainsi que l’épouse du SG de l’Onu, Mme Ban Soo-Tack, selon un communiqué du cabinet de la Première dame Ivoirienne, parvenu lundi à l’AIP.
Au nom de l’Organisation des Premières dames d’Afrique contre le Vih/Sida (OPDAS), la Première dame de la Namibie, Mme Penehupifo Pohamba, a exhorté ses "sœurs africaines", à s’engager davantage dans la recherche d’une solution durable contre le fléau, sollicitant à l’occasion, le soutien de tous, car l’organisation ne vit actuellement que des cotisations de ses membres.
Selon le directeur de l’Onusida, Jan Beagle, "on peut réduire la transmission mère-enfant du Vih/Sida", tout en invitant ces "firsts ladies" à multiplier les initiatives de lutte contre la pandémie.
Des exposés sur les thèmes "Traduire l’expérience des communautés vulnérables dans les politiques sur le Vih/Sida au Japon" ; "Lutter contre la stigmatisation : la communauté gay à Tokyo" ont été suivis par ces Premières dames, signale-t-on.
(AIP)
Jbk/kkp/kam
Ce symposium qui avait pour thème : "parlons du Sida : les défis communs de l’Afrique et du Japon", a réuni une quinzaine de Première dames africaines dont celle de la Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara, du Japon, Mme Akie Abe, ainsi que l’épouse du SG de l’Onu, Mme Ban Soo-Tack, selon un communiqué du cabinet de la Première dame Ivoirienne, parvenu lundi à l’AIP.
Au nom de l’Organisation des Premières dames d’Afrique contre le Vih/Sida (OPDAS), la Première dame de la Namibie, Mme Penehupifo Pohamba, a exhorté ses "sœurs africaines", à s’engager davantage dans la recherche d’une solution durable contre le fléau, sollicitant à l’occasion, le soutien de tous, car l’organisation ne vit actuellement que des cotisations de ses membres.
Selon le directeur de l’Onusida, Jan Beagle, "on peut réduire la transmission mère-enfant du Vih/Sida", tout en invitant ces "firsts ladies" à multiplier les initiatives de lutte contre la pandémie.
Des exposés sur les thèmes "Traduire l’expérience des communautés vulnérables dans les politiques sur le Vih/Sida au Japon" ; "Lutter contre la stigmatisation : la communauté gay à Tokyo" ont été suivis par ces Premières dames, signale-t-on.
(AIP)
Jbk/kkp/kam
