Une délégation de l’Institut coréen des transports et les directeurs généraux de la structure en charge de la gestion des infrastructures des transports et de la construction d’infrastructures des transports de la Côte d’ Ivoire, ont échangé sur les potentialités éventuelles permettant un transfert de compétences entre les deux pays. Ces échanges ont eu lieu, lors d’un séminaire organisé par l’Ageroute, le vendredi 31 mai à l’Hôtel Pullman du Plateau.
L’État de Côte d’Ivoire, en recevant la délégation de l’Institut coréen des transports par le biais des autorités de l’Ageroute, du Bnetd, des structures aéroportuaires, souhaite sceller une coopération solide avec la Corée du Sud afin de bénéficier de son expérience. En effet, la Corée du Sud a connu ‘‘un miracle économique’’ après la guerre civile qu’elle a connu (1950-1953). Ce miracle économique lui permet de proposer ses compétences et ses stratégies de développement à ses partenaires.
C’est donc à juste titre, qu’elle a proposé ses stratégies pour développer les infrastructures des transports de la Côte d’Ivoire. «Les facteurs clés du succès coréen ont été une bonne planification du développement des infrastructures, un budget adapté au développement des infrastructures, un leadership éclairé», a indiqué Gyeng Chu Kim, présentateur des atouts de la Corée du Sud. En effet, Gyeng Chu Kim a eu pour mission de présenter les étapes du développement des infrastructures routières, du chemin de fer, des ports et des aéroports de son pays, entre 1970 et 2010. Concernant les transports urbains, le présentateur coréen a fait savoir que son développement a été basé sur le métro et sur la création de voies centrales dédiées au bus.
Le directeur de cabinet du ministre des Infrastructures économiques a, pour sa part, salué la tenue dudit séminaire qui, selon lui, va aboutir sur une coopération solide pour pouvoir bénéficier de l’expérience coréenne en matière du développement d’infrastructures des transports. Car, le tableau comparatif montre un véritable retard de la Côte d’Ivoire face à la Corée du Sud. Et ce, au niveau des routes, des moyens de transport, du port et de l’aéroport… où le décalage entre les deux pays est énorme.
O.Dama
L’État de Côte d’Ivoire, en recevant la délégation de l’Institut coréen des transports par le biais des autorités de l’Ageroute, du Bnetd, des structures aéroportuaires, souhaite sceller une coopération solide avec la Corée du Sud afin de bénéficier de son expérience. En effet, la Corée du Sud a connu ‘‘un miracle économique’’ après la guerre civile qu’elle a connu (1950-1953). Ce miracle économique lui permet de proposer ses compétences et ses stratégies de développement à ses partenaires.
C’est donc à juste titre, qu’elle a proposé ses stratégies pour développer les infrastructures des transports de la Côte d’Ivoire. «Les facteurs clés du succès coréen ont été une bonne planification du développement des infrastructures, un budget adapté au développement des infrastructures, un leadership éclairé», a indiqué Gyeng Chu Kim, présentateur des atouts de la Corée du Sud. En effet, Gyeng Chu Kim a eu pour mission de présenter les étapes du développement des infrastructures routières, du chemin de fer, des ports et des aéroports de son pays, entre 1970 et 2010. Concernant les transports urbains, le présentateur coréen a fait savoir que son développement a été basé sur le métro et sur la création de voies centrales dédiées au bus.
Le directeur de cabinet du ministre des Infrastructures économiques a, pour sa part, salué la tenue dudit séminaire qui, selon lui, va aboutir sur une coopération solide pour pouvoir bénéficier de l’expérience coréenne en matière du développement d’infrastructures des transports. Car, le tableau comparatif montre un véritable retard de la Côte d’Ivoire face à la Corée du Sud. Et ce, au niveau des routes, des moyens de transport, du port et de l’aéroport… où le décalage entre les deux pays est énorme.
O.Dama
