ABIDJAN - Un congrès africain sur l'huile de palme s'est ouvert lundi à Abidjan, en Côte d'Ivoire, et devrait déboucher sur la création d'un "réseau" des producteurs en vue de prendre des mesures pour freiner les "attaques sévères" contre l'huile de palme et encourager sa consommation en Afrique.
Des planteurs de palmier à huile, des producteurs industriels, des transformateurs, des distributeurs, des bailleurs de fonds, des banques et des fonds d'investissements sans compter des scientifiques, des spécialistes en nutrition et en développement et des ONG environnementales participent à ce premier congrès qui devrait s'achever jeudi par des actions d'envergure pour "freiner les attaques sévères qui se multiplient dans le monde'' contre l'huile de palme, tout en encourageant la consommation d'huile de palme en Afrique pour "lutter contre l'insécurité alimentaire".
A l'ouverture des travaux, tous les intervenants ont insisté sur la nécessité de créer ce "réseau" des producteurs d'huile de palme, une plate-forme d'échanges entre les acteurs de la filière sur le continent.
Le "réseau" devrait permettre à tous les acteurs de la chaîne de valeur de l'huile de palme de réfléchir à une politique commune et faire des recommandations pour le développement de la filière et la défense de leurs intérêts communs.
La filière de l'huile de palme enregistre en Côte d'Ivoire un chiffre d'affaires estimé à plus de 400 milliards de francs CFA.
La Côte d'Ivoire, premier exportateur d'huile de palme en Afrique, est le premier producteur de l'Union économique et monétaire Ouest africaine (UEMOA) avec 90% du volume total d'huile de palme produit dans la zone.
Deux millions de personnes, soit 10% de la population ivoirienne, tirent l'essentiel de leurs revenus du palmier à huile.
La production, la transformation et le transport des produits du palmier génèrent directement ou indirectement 200.000 emplois réguliers dans le pays.
Des conférences et des communications sont prévus lors du congrès qui sera sanctionnée par la signature d'une déclaration commune dite "Déclaration d'Abidjan''.
La "Déclaration d'Abidjan" va poser les fondements de la mutualisation des actions des acteurs de la filière du palmier à huile sur le continent.
Des planteurs de palmier à huile, des producteurs industriels, des transformateurs, des distributeurs, des bailleurs de fonds, des banques et des fonds d'investissements sans compter des scientifiques, des spécialistes en nutrition et en développement et des ONG environnementales participent à ce premier congrès qui devrait s'achever jeudi par des actions d'envergure pour "freiner les attaques sévères qui se multiplient dans le monde'' contre l'huile de palme, tout en encourageant la consommation d'huile de palme en Afrique pour "lutter contre l'insécurité alimentaire".
A l'ouverture des travaux, tous les intervenants ont insisté sur la nécessité de créer ce "réseau" des producteurs d'huile de palme, une plate-forme d'échanges entre les acteurs de la filière sur le continent.
Le "réseau" devrait permettre à tous les acteurs de la chaîne de valeur de l'huile de palme de réfléchir à une politique commune et faire des recommandations pour le développement de la filière et la défense de leurs intérêts communs.
La filière de l'huile de palme enregistre en Côte d'Ivoire un chiffre d'affaires estimé à plus de 400 milliards de francs CFA.
La Côte d'Ivoire, premier exportateur d'huile de palme en Afrique, est le premier producteur de l'Union économique et monétaire Ouest africaine (UEMOA) avec 90% du volume total d'huile de palme produit dans la zone.
Deux millions de personnes, soit 10% de la population ivoirienne, tirent l'essentiel de leurs revenus du palmier à huile.
La production, la transformation et le transport des produits du palmier génèrent directement ou indirectement 200.000 emplois réguliers dans le pays.
Des conférences et des communications sont prévus lors du congrès qui sera sanctionnée par la signature d'une déclaration commune dite "Déclaration d'Abidjan''.
La "Déclaration d'Abidjan" va poser les fondements de la mutualisation des actions des acteurs de la filière du palmier à huile sur le continent.