Depuis 1987, le 26 juin est la Journée internationale contre l’abus et le trafic illicite de drogues.
Pour l’Organisation des Nations Unies (ONU), c’est l’occasion «d’exprimer sa détermination à renforcer l’action et la coopération pour éliminer la drogue de la société». Une approche qui est pourtant de plus en plus contestée par les experts.
«La lutte à la drogue est encadrée par deux types d’action : la prohibition et la répression. Pourtant, les résultats sont très mitigés, pour ne pas dire catastrophiques ou contre-productifs», affirme Guillermo Aureano, chargé de cours spécialisé en géopolitique des drogues à l’Université de Montréal. suite de l'article sur
Pour l’Organisation des Nations Unies (ONU), c’est l’occasion «d’exprimer sa détermination à renforcer l’action et la coopération pour éliminer la drogue de la société». Une approche qui est pourtant de plus en plus contestée par les experts.
«La lutte à la drogue est encadrée par deux types d’action : la prohibition et la répression. Pourtant, les résultats sont très mitigés, pour ne pas dire catastrophiques ou contre-productifs», affirme Guillermo Aureano, chargé de cours spécialisé en géopolitique des drogues à l’Université de Montréal. suite de l'article sur