L'accès au traitement antipaludéen de qualité en Afrique est au centre d'un atelier qui se tient à Kampala, en Ouganda, à l'initiative d'un laboratoire pharmaceutique avec le soutien de plusieurs organisations internationales.
Des experts nationaux et internationaux venus de plus de 25 pays d'Afrique se retrouvent, dans le cadre du 12èmeatelier annuel de partage des meilleures pratiques du Programme national de contrôle du paludisme (NMCP), pour explorer des solutions au problème des antipaludéens non conformes utilisés dans les traitements sur le continent africain.
"Elargir l'accès aux combinaisons thérapeutiques à base d'artémisinine (CTA)", tel est le thème de l'atelier du NMCP qui bénéficie du soutien des organisations telles que le Fonds mondial, la Clinton Health Access Initiative, ACTwatch, la Foundation for Innovative New Diagnostics et la Global Business Coalition.
"Les progrès accomplis pour atteindre une réduction considérable de la charge de paludisme en Afrique seront rapidement compromis si nous ne nous attaquons pas au problème endémique des antipaludéens de mauvaise qualité au sein du secteur privé", selon le président du service de santé publique pour la lutte contre le paludisme auKEMRI-Wellcome Trust qui souhaite une collaboration entre les gouvernements et les parties prenantes de la lutte contre le paludisme, "afin de nous assurer que tous les patients aient accès aux meilleurs antipaludéens disponibles", affirme le Pr Bob Snow.
Pour le directeur du programme NMCP en Ouganda, le Dr Okui Albert Peter, il est important de développer des solutions durables qui ne comptent pas uniquement sur les fonds de donateurs pour assurer que des traitements efficaces et abordables atteignent les patients africains qui se procurent des traitements antipaludéens dont la qualité ne peut pas toujours être garantie.
kp
Des experts nationaux et internationaux venus de plus de 25 pays d'Afrique se retrouvent, dans le cadre du 12èmeatelier annuel de partage des meilleures pratiques du Programme national de contrôle du paludisme (NMCP), pour explorer des solutions au problème des antipaludéens non conformes utilisés dans les traitements sur le continent africain.
"Elargir l'accès aux combinaisons thérapeutiques à base d'artémisinine (CTA)", tel est le thème de l'atelier du NMCP qui bénéficie du soutien des organisations telles que le Fonds mondial, la Clinton Health Access Initiative, ACTwatch, la Foundation for Innovative New Diagnostics et la Global Business Coalition.
"Les progrès accomplis pour atteindre une réduction considérable de la charge de paludisme en Afrique seront rapidement compromis si nous ne nous attaquons pas au problème endémique des antipaludéens de mauvaise qualité au sein du secteur privé", selon le président du service de santé publique pour la lutte contre le paludisme auKEMRI-Wellcome Trust qui souhaite une collaboration entre les gouvernements et les parties prenantes de la lutte contre le paludisme, "afin de nous assurer que tous les patients aient accès aux meilleurs antipaludéens disponibles", affirme le Pr Bob Snow.
Pour le directeur du programme NMCP en Ouganda, le Dr Okui Albert Peter, il est important de développer des solutions durables qui ne comptent pas uniquement sur les fonds de donateurs pour assurer que des traitements efficaces et abordables atteignent les patients africains qui se procurent des traitements antipaludéens dont la qualité ne peut pas toujours être garantie.
kp
