Agboville - Le Programme Nationale de Lutte Contre le Paludisme (Pnlp) s'est engagé dans le plaidoyer et la révision des messages et supports de sa communication, depuis Agboville, où il anime un atelier de validation avec l'appui de l'Unicef, a appris mercredi l'AIP.
« Nous devons adapter les messages et supports aux nouveaux protocoles (traitement) ainsi que les directives du programme », a indiqué Za Bi Albert, chargé de communication au Pnlp.
Il a expliqué que l'objet de l'atelier est d'élaborer un document de plaidoyer en vue d'une meilleure prévention par l'utilisation de la moustiquaire imprégnée, la prise en charge des cas de paludisme ainsi que la prévention de la maladie chez les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans.
« Cette frange connaît un taux de mortalité et de morbidité très élevé », a déploré la responsable communication. Au total 17 participants et deux consultants de l'Unicef, tous chargés d'étude et de communication des autres programmes de santé, prennent part à l'atelier ouvert lundi et qui s'achève vendredi.
« Nous devons adapter les messages et supports aux nouveaux protocoles (traitement) ainsi que les directives du programme », a indiqué Za Bi Albert, chargé de communication au Pnlp.
Il a expliqué que l'objet de l'atelier est d'élaborer un document de plaidoyer en vue d'une meilleure prévention par l'utilisation de la moustiquaire imprégnée, la prise en charge des cas de paludisme ainsi que la prévention de la maladie chez les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans.
« Cette frange connaît un taux de mortalité et de morbidité très élevé », a déploré la responsable communication. Au total 17 participants et deux consultants de l'Unicef, tous chargés d'étude et de communication des autres programmes de santé, prennent part à l'atelier ouvert lundi et qui s'achève vendredi.
