La nouvelle parfumerie Gandour située à la Zone industrielle de la commune de Yopougon, sur une superficie de 8 hectares n’existe désormais que de nom. L’entreprise spécialisée dans la fabrique des produits cosmétiques a été totalement rasée par des flammes. Selon des informations recueillies sur place auprès de certains employés encore sous le choc, le feu qui s’est déclenché ce dimanche aux environs de 2 heures du matin est parti du grand bâtiment abritant des cartons et des flacons, avant de se propager à une vitesse vertigineuse à tous les compartiments de l’entreprise.
Le bâtiment des cartons et des flacons étant hermétiquement fermé, les pompiers ainsi que les premiers secouristes arrivés sur les lieux n’ont pu avoir accès au foyer de l’incendie qui a eu le temps de rapidement se propager à tous les compartiments de la société, y compris au bâtiment administratif. Même à notre passage plusieurs heures après l’incendie, soit à 11heures 30mn, hier Dimanche 7 juillet 2013, la fumée se dégageait encore des bâtiments dévastés de la nouvelle parfumerie Gandour, transformée en un tas de ruine. Ce qui traduit la gravité du sinistre qui s’élève, selon l’un des directeurs interrogé, à plusieurs centaines de milliards de francs Cfa. L’intensité des flammes était si forte qu’après l’arrivée des sapeurs pompiers basés à Yopougon, ceux de la Sir (Société ivoirienne de raffinerie) ainsi que leurs collègues du 43ème Bima ont été appelés en renfort. Ce qui a permis de circonscrire le gigantesque incendie qui a fait deux blessés graves (un pompier et un civil). L’usine, faut-il l’indiquer, emploie près de 1500 personnes dont 650 embauchées. Et cet accident qui serait, dit-on, dû à un court-circuit, intervient quatre mois seulement après l’incendie qui a ravagé la nouvelle parfumerie Gandour du Cameroun. Une enquête a été ouverte pour définir les causes réelles de cet incendie qui en rajoute au lot assez important de personnes à la rue.
Erie-Stéphane Bohui
Le bâtiment des cartons et des flacons étant hermétiquement fermé, les pompiers ainsi que les premiers secouristes arrivés sur les lieux n’ont pu avoir accès au foyer de l’incendie qui a eu le temps de rapidement se propager à tous les compartiments de la société, y compris au bâtiment administratif. Même à notre passage plusieurs heures après l’incendie, soit à 11heures 30mn, hier Dimanche 7 juillet 2013, la fumée se dégageait encore des bâtiments dévastés de la nouvelle parfumerie Gandour, transformée en un tas de ruine. Ce qui traduit la gravité du sinistre qui s’élève, selon l’un des directeurs interrogé, à plusieurs centaines de milliards de francs Cfa. L’intensité des flammes était si forte qu’après l’arrivée des sapeurs pompiers basés à Yopougon, ceux de la Sir (Société ivoirienne de raffinerie) ainsi que leurs collègues du 43ème Bima ont été appelés en renfort. Ce qui a permis de circonscrire le gigantesque incendie qui a fait deux blessés graves (un pompier et un civil). L’usine, faut-il l’indiquer, emploie près de 1500 personnes dont 650 embauchées. Et cet accident qui serait, dit-on, dû à un court-circuit, intervient quatre mois seulement après l’incendie qui a ravagé la nouvelle parfumerie Gandour du Cameroun. Une enquête a été ouverte pour définir les causes réelles de cet incendie qui en rajoute au lot assez important de personnes à la rue.
Erie-Stéphane Bohui