Le Chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara a invité lundi depuis Korhogo (633 km au Nord d’Abidjan) sur la terre de ses ancêtres, le Front populaire ivoirien(FPI, le parti de Laurent Gbagbo) à "l’humilité" et à la "repentance" pour rentrer dans le processus de paix, engagé dans le pays.
"Je voudrais inviter nos frère du FPI a rentré dans le processus de la paix. Je leur demande de prendre le train du processus de la paix", a lancé M. Ouattara lors de son dernier meeting dans le district des Savanes.
"Nous ne voulons plus d’exclusion en Côte d’Ivoire",a-t-il ajouté en demandant aux militants du FPI d’avoir la "force et le courage de demander pardon aux parents des victimes" de la violente crise postélectorale qui a fait plus de 3000 morts de décembre 2010 à avril 2011.
Selon lui, les parents de ces victimes sont attente de ce "geste d’humilité de la part de certains membres du FPI". "Ce geste permettra d’aller plus loin dans la réconciliation", a ajouté Alassane Ouattara, saluant dans la foulée la "liberté d’expression qui est une réalité en Côte d’Ivoire" depuis qu’il est au pouvoir.
"Certains ont confondu journalisme et militantisme et se sont retrouvés brièvement en prison", a rappelé le Chef de l’Etat ivoirien.
"Je demande ce geste fort au FPI: la repentance pour le pardon", a insisté Alassane Ouattara en exprimant son vœux de bâtir une "Côte d’Ivoire moderne et rassemblée".
Le parti de Laurent Gbagbo a boycotté les élections législatives et locales dernières pour réclamer la libération de ses cadres en prison depuis la fin de la crise postélectorale. Le FPI refuse également de rentrer dans le gouvernement du Président Alassane Ouattara.
LS/APA
"Je voudrais inviter nos frère du FPI a rentré dans le processus de la paix. Je leur demande de prendre le train du processus de la paix", a lancé M. Ouattara lors de son dernier meeting dans le district des Savanes.
"Nous ne voulons plus d’exclusion en Côte d’Ivoire",a-t-il ajouté en demandant aux militants du FPI d’avoir la "force et le courage de demander pardon aux parents des victimes" de la violente crise postélectorale qui a fait plus de 3000 morts de décembre 2010 à avril 2011.
Selon lui, les parents de ces victimes sont attente de ce "geste d’humilité de la part de certains membres du FPI". "Ce geste permettra d’aller plus loin dans la réconciliation", a ajouté Alassane Ouattara, saluant dans la foulée la "liberté d’expression qui est une réalité en Côte d’Ivoire" depuis qu’il est au pouvoir.
"Certains ont confondu journalisme et militantisme et se sont retrouvés brièvement en prison", a rappelé le Chef de l’Etat ivoirien.
"Je demande ce geste fort au FPI: la repentance pour le pardon", a insisté Alassane Ouattara en exprimant son vœux de bâtir une "Côte d’Ivoire moderne et rassemblée".
Le parti de Laurent Gbagbo a boycotté les élections législatives et locales dernières pour réclamer la libération de ses cadres en prison depuis la fin de la crise postélectorale. Le FPI refuse également de rentrer dans le gouvernement du Président Alassane Ouattara.
LS/APA