Ouangolodougou - Le manque d’ambulance dans le centre de santé urbain de Niellé, département de Ouangolodougou (nord, région du Tchologo) depuis trois ans, reste une des réoccupations majeures sur le plan sanitaire des autorités administratives et politiques de la localité, a révélé à l’AIP le sous-préfet Yao Kouakou.
"Notre préoccupation est au plan sanitaire parce que notre centre de santé urbain n’a pas d’ambulance. Ce déficit est une préoccupation pour la population et pour les autorités administratives et politiques qui éprouvent des difficultés pour évacuer les patients vers les structures spécialisées" a dit en substance l’administrateur de la localité.
Selon lui, l’évacuation d’un malade est un "casse-tête". "Quand le malade est chanceux, l’évacuation se fait grâce à un véhicule bâché d’une coopérative et ce, avec l’accord du gérant. Dans le cas contraire le parent du patient l’évacue à moto en l’attachant au dos ou en le faisant asseoir entre deux personnes" a-t-il regretté.
Pour limiter ces évacuations "périlleuses" des populations, les autorités politiques et administratives avec à leur tête le sous-préfet "souhaitent que certains services comme la pédiatrie et la chirurgie soient ouverts à Niellé", ont-elles plaidées.
ck/kkl/kam
"Notre préoccupation est au plan sanitaire parce que notre centre de santé urbain n’a pas d’ambulance. Ce déficit est une préoccupation pour la population et pour les autorités administratives et politiques qui éprouvent des difficultés pour évacuer les patients vers les structures spécialisées" a dit en substance l’administrateur de la localité.
Selon lui, l’évacuation d’un malade est un "casse-tête". "Quand le malade est chanceux, l’évacuation se fait grâce à un véhicule bâché d’une coopérative et ce, avec l’accord du gérant. Dans le cas contraire le parent du patient l’évacue à moto en l’attachant au dos ou en le faisant asseoir entre deux personnes" a-t-il regretté.
Pour limiter ces évacuations "périlleuses" des populations, les autorités politiques et administratives avec à leur tête le sous-préfet "souhaitent que certains services comme la pédiatrie et la chirurgie soient ouverts à Niellé", ont-elles plaidées.
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