Un atelier d’orientation en santé des adolescents et des jeunes, et d’adaptation du curriculum générique de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) qui s'est ouvert lundi à Adzopé (104 km à l'Est d'Abidjan) avec la participation des experts nationaux et internationaux, a invité les professionnels du secteurs de la santé à être ''sensibles à la santé des ados'', a constaté APA sur place.
Cet atelier initié par le ministère de la santé et de la lutte contre le Vih/Sida à travers le Programme national de la santé scolaire et universitaire (Pnssu), dirigé par Dr Karim Kouyaté avec l'appui financier de l'Oms, vise à développer et à mettre en œuvre des stratégies efficaces de lutte pour renforcer la réponse nationale face à la santé des adolescents et des jeunes.
"Le but de cette activité est de faciliter la prise en charge médicale des jeunes et des adolescents solarisés et non scolarisés par les prestataire des services de santé des ados et jeunes à travers la mise à disposition de modules adaptés à l'offre de soins aux jeunes et aux adolescents avec l'implication de toutes les parties prenantes", a déclaré à l'ouverture des travaux, Dr Serges Ekong, représentant la ministre de la santé et de la lutte contre le sida.
Selon lui, ce processus n'est pas ''individuel'' à la Côte d'Ivoire, mais, a-t-il expliqué, "il y a d'autres pays qui y travaillent''. Dr Ekong a également traduit les remerciements et la gratitude du gouvernement ivoirien à l'Oms pour son appui constant.
"Ce qui nous réunit aujourd'hui est de connaitre les caractéristiques et le développement des ados'', a dit auparavant, Dr Geneviève Nékouéssi Saki du bureau de l'Oms à Abidjan. Pour elle, les acteurs de la santé doivent désormais être ''sensibles aux questions de la santé des ados''.
''Il nous faut pour la mise en œuvre des standards des services de santé des ados et jeunes que les modules de formation des prestataires de santé des adolescents et des jeunes soient révisés pour tenir compte des besoins de ceux-ci afin d'adapter les services de santé à leur offrir", a ajouté pour sa part, Dr Claude Odjé, Directeur coordonateur adjoint du Pnssu.
Après avoir élaboré des normes et standards de ce processus, il était nécessaire, a expliqué Dr Odjé, de réviser les modules pour le renforcement des capacités des prestataires afin de les mettre en adéquation avec la nouvelle donne du suivi médical des ados et jeunes en Côte d'Ivoire.
Un atelier inter-pays des facilitateurs en santé et développement des adolescents et des jeunes s'est tenu en novembre 2005 à Dakar au Sénégal. Cette rencontre a ressorti comme priorité aux pays, l'élaboration de Plan Stratégique en Santé et Développement des adolescents et des jeunes.
Ainsi, l'Oms qui appuie la mise en œuvre des activités en faveur des adolescents et jeunes a facilité l'élaboration du Plan Stratégique National (2010-2014) et les standards des services de santé des adolescents et des jeunes prenant en compte toutes les préoccupations sanitaires des adolescents et des jeunes scolarisés, non scolarisés ou déscolarisés, avec la participation de toutes les structures techniques, sociales et les partenaires au développement.
Les professionnels de la santé, les partenaires au développement, des ados, des jeunes et autres acteurs de la santé participent à cet atelier qui prend fin samedi.
LS/APA
Cet atelier initié par le ministère de la santé et de la lutte contre le Vih/Sida à travers le Programme national de la santé scolaire et universitaire (Pnssu), dirigé par Dr Karim Kouyaté avec l'appui financier de l'Oms, vise à développer et à mettre en œuvre des stratégies efficaces de lutte pour renforcer la réponse nationale face à la santé des adolescents et des jeunes.
"Le but de cette activité est de faciliter la prise en charge médicale des jeunes et des adolescents solarisés et non scolarisés par les prestataire des services de santé des ados et jeunes à travers la mise à disposition de modules adaptés à l'offre de soins aux jeunes et aux adolescents avec l'implication de toutes les parties prenantes", a déclaré à l'ouverture des travaux, Dr Serges Ekong, représentant la ministre de la santé et de la lutte contre le sida.
Selon lui, ce processus n'est pas ''individuel'' à la Côte d'Ivoire, mais, a-t-il expliqué, "il y a d'autres pays qui y travaillent''. Dr Ekong a également traduit les remerciements et la gratitude du gouvernement ivoirien à l'Oms pour son appui constant.
"Ce qui nous réunit aujourd'hui est de connaitre les caractéristiques et le développement des ados'', a dit auparavant, Dr Geneviève Nékouéssi Saki du bureau de l'Oms à Abidjan. Pour elle, les acteurs de la santé doivent désormais être ''sensibles aux questions de la santé des ados''.
''Il nous faut pour la mise en œuvre des standards des services de santé des ados et jeunes que les modules de formation des prestataires de santé des adolescents et des jeunes soient révisés pour tenir compte des besoins de ceux-ci afin d'adapter les services de santé à leur offrir", a ajouté pour sa part, Dr Claude Odjé, Directeur coordonateur adjoint du Pnssu.
Après avoir élaboré des normes et standards de ce processus, il était nécessaire, a expliqué Dr Odjé, de réviser les modules pour le renforcement des capacités des prestataires afin de les mettre en adéquation avec la nouvelle donne du suivi médical des ados et jeunes en Côte d'Ivoire.
Un atelier inter-pays des facilitateurs en santé et développement des adolescents et des jeunes s'est tenu en novembre 2005 à Dakar au Sénégal. Cette rencontre a ressorti comme priorité aux pays, l'élaboration de Plan Stratégique en Santé et Développement des adolescents et des jeunes.
Ainsi, l'Oms qui appuie la mise en œuvre des activités en faveur des adolescents et jeunes a facilité l'élaboration du Plan Stratégique National (2010-2014) et les standards des services de santé des adolescents et des jeunes prenant en compte toutes les préoccupations sanitaires des adolescents et des jeunes scolarisés, non scolarisés ou déscolarisés, avec la participation de toutes les structures techniques, sociales et les partenaires au développement.
Les professionnels de la santé, les partenaires au développement, des ados, des jeunes et autres acteurs de la santé participent à cet atelier qui prend fin samedi.
LS/APA