Après avoir été confronté à toute sorte d’humiliation, les résultats des recherches du Professeur Michel Tahiri Zagret intéressent de plus en plus ses concitoyens.
Les personnes vivant avec le Vih/Sida, ont décidé de ne pas se fier aux idées préconçues pour prendre leur destin en main. Elles font fi de toutes ces idées pour confier leur destin au Professeur Michel Tahiri Zagret qui, à bien des égards, a réussi à leur permettre de retrouver le sourire. Grâce à ses gélules Kabiex et aux différentes pommades expérimentées dans son laboratoire, l’home de science réussit à inverser la séropositivité des patients en séronégativité. Nous avons, à l’occasion d’une visite à son domicile, nous rendre compte de la fréquence de visites que reçoit quotidiennement le Professeur. C’est avec une joie à peine contenue qu’il nous a reçus, le week-end dernier, à son domicile sis à Cocody. Il venait, en effet, d’expérimenter avec succès, le ‘’Super Kabiex Warè 13’’. Ce remède est le prolongement et la perfection de ses gélules Kabiex. Sa joie est d’autant grande qu’avant lui, aucun chercheur ivoirien n’avait encore réussi une telle prouesse. Mieux, le ‘’Super Kabiex Warè 13’’ a redonné l’envie de vivre à un patient, dont le cas avait été jugé désespéré au service des maladies infectieuses du Chu (Centre hospitalier universitaire) de Treichville. C’est donc ce cas dit désespéré que le Professeur Tahiri Zagret-Boigny a pu soulager à l’aide de ses gélules. Faut-il le souligner, longtemps bien avant, le professeur n’a pas été suivi dans ses différentes démarches pour ce qui concerne la lutte contre le Sida. Et pourtant, la toxoplasmose qu’il vient de guérir, à travers l’expérimentation du ‘‘Super Kabiex Warè 13’’, est la phase terminale du cancer du cerveau causée par l’infection au Vih. Au regard de cette prouesse jamais réalisée par un chercheur au sud du Sahara et même au-delà des tropiques, est-il encore besoin de spéculer sur la capacité du Professeur Michel Tahiri Zagret-Boigny, quant à ses aptitudes à venir à bout de la maladie du siècle ? A 84 ans bien sonnés, le Professeur Tahiri souhaite tout humblement que le gouvernement lui donne la possibilité de construire un plus grand laboratoire, en vue de produire à une plus grande échelle, ses remèdes contre le Vih/Sida et le cancer du cerveau. D’autant plus que le traitement d’un seul coûte plus cher.
lhebdoivoirien@yahoo.fr
Idrissa Konaté
Les personnes vivant avec le Vih/Sida, ont décidé de ne pas se fier aux idées préconçues pour prendre leur destin en main. Elles font fi de toutes ces idées pour confier leur destin au Professeur Michel Tahiri Zagret qui, à bien des égards, a réussi à leur permettre de retrouver le sourire. Grâce à ses gélules Kabiex et aux différentes pommades expérimentées dans son laboratoire, l’home de science réussit à inverser la séropositivité des patients en séronégativité. Nous avons, à l’occasion d’une visite à son domicile, nous rendre compte de la fréquence de visites que reçoit quotidiennement le Professeur. C’est avec une joie à peine contenue qu’il nous a reçus, le week-end dernier, à son domicile sis à Cocody. Il venait, en effet, d’expérimenter avec succès, le ‘’Super Kabiex Warè 13’’. Ce remède est le prolongement et la perfection de ses gélules Kabiex. Sa joie est d’autant grande qu’avant lui, aucun chercheur ivoirien n’avait encore réussi une telle prouesse. Mieux, le ‘’Super Kabiex Warè 13’’ a redonné l’envie de vivre à un patient, dont le cas avait été jugé désespéré au service des maladies infectieuses du Chu (Centre hospitalier universitaire) de Treichville. C’est donc ce cas dit désespéré que le Professeur Tahiri Zagret-Boigny a pu soulager à l’aide de ses gélules. Faut-il le souligner, longtemps bien avant, le professeur n’a pas été suivi dans ses différentes démarches pour ce qui concerne la lutte contre le Sida. Et pourtant, la toxoplasmose qu’il vient de guérir, à travers l’expérimentation du ‘‘Super Kabiex Warè 13’’, est la phase terminale du cancer du cerveau causée par l’infection au Vih. Au regard de cette prouesse jamais réalisée par un chercheur au sud du Sahara et même au-delà des tropiques, est-il encore besoin de spéculer sur la capacité du Professeur Michel Tahiri Zagret-Boigny, quant à ses aptitudes à venir à bout de la maladie du siècle ? A 84 ans bien sonnés, le Professeur Tahiri souhaite tout humblement que le gouvernement lui donne la possibilité de construire un plus grand laboratoire, en vue de produire à une plus grande échelle, ses remèdes contre le Vih/Sida et le cancer du cerveau. D’autant plus que le traitement d’un seul coûte plus cher.
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Idrissa Konaté
