ABIDJAN - Le président du Conseil national de l'Ordre des pharmaciens de Côte d'Ivoire Lamine Lachiroy a indiqué lundi à Abidjan que le trafic illicite des médicaments constitue une préoccupation pour les autorités sanitaires du pays.
M. Lachiroy qui accordait un entretien à des journalistes a indiqué que la contrefaçon de produits pharmaceutiques est un fléau qui doit être combattu avec énergie en raison des graves dangers qu'induit l'utilisation de ces médicaments.
"L'évolution de ce fléau est parallèle à l'évolution des maux tels que l'insuffisance rénale", a-t-il relevé.
Celui-ci a déploré des pertes économiques enregistrées par l'Etat du fait qu'une une partie du trafic des médicaments échappe au contrôle du gouvernement.
"Les forces de police nationale, la douane et même interpol sont impliqués dans la lutte", a révélé Lamine Lachiroy.
De son avis, la promotion de l'industrie locale pourrait contribuer à une lutte efficace contre la contrefaçon des médicaments.
La contrefaçon des médicaments constitue une véritable problématique pour les autorités sanitaires qui ont décidé de juguler ce fléau qui prend de l'ampleur dans le pays.
Selon les experts en santé, les contrefaçons de médicaments représentent un risque pour la santé publique en raison de leur contenu qui peut être dangereux. Leur utilisation peut aboutir à des échecs thérapeutiques et contribuer à une augmentation des résistances.
Selon des statistiques du ministère en charge de la Santé, la contrefaçon de médicaments fait perdre à la Côte d'Ivoire 30 milliards de FCFA (environ 50 millions d'euros).
M. Lachiroy qui accordait un entretien à des journalistes a indiqué que la contrefaçon de produits pharmaceutiques est un fléau qui doit être combattu avec énergie en raison des graves dangers qu'induit l'utilisation de ces médicaments.
"L'évolution de ce fléau est parallèle à l'évolution des maux tels que l'insuffisance rénale", a-t-il relevé.
Celui-ci a déploré des pertes économiques enregistrées par l'Etat du fait qu'une une partie du trafic des médicaments échappe au contrôle du gouvernement.
"Les forces de police nationale, la douane et même interpol sont impliqués dans la lutte", a révélé Lamine Lachiroy.
De son avis, la promotion de l'industrie locale pourrait contribuer à une lutte efficace contre la contrefaçon des médicaments.
La contrefaçon des médicaments constitue une véritable problématique pour les autorités sanitaires qui ont décidé de juguler ce fléau qui prend de l'ampleur dans le pays.
Selon les experts en santé, les contrefaçons de médicaments représentent un risque pour la santé publique en raison de leur contenu qui peut être dangereux. Leur utilisation peut aboutir à des échecs thérapeutiques et contribuer à une augmentation des résistances.
Selon des statistiques du ministère en charge de la Santé, la contrefaçon de médicaments fait perdre à la Côte d'Ivoire 30 milliards de FCFA (environ 50 millions d'euros).