Dimbokro - Le conseil régional du N'Zi a procédé, mercredi, à l'installation de sa cellule de lutte contre le VIH/SIDA en présence d'autorités administrative, politiques et sanitaires.
Forte de huit membres et composée paritairement de femmes et d'hommes, cette cellule dénommée ''Le bon samaritain" est dirigée par Attougré Affoué Blandine. C'est le président du conseil régional, présidente d'honneur de ladite cellule, N'Guessan Koffi Bernard qui en a procédé au baptême.
Dans son adresse, Mlle Attoungré a exhorté l'ensemble du personnel du conseil régional "à avoir des comportempents responsables, à savoir non seulement adopter le triptyque autour du SIDA notamment l'abstinence, la fidélité et le port du préservatif mais également et surtout arrêter de vivre dans l'ignorance qui doit amener chacun à connaître le statut sérologique eu égard aux avantages que cela procure."
Au nom du préfet, le Secrétaire général 2 de préfecture, Kokora Mauni François-Xavier, s'est félicité de l'installation de cette cellule, "véritable relai" au sein du conseil régional en matière de VIH/SIDA.
Disant une conférence sur le thème "Impact socio-économique du VIH sur la communauté", le Dr N'Guessan, médecin, a révélé que malgré tous les efforts du gouvernement et de ses partenaires, le VIH/SIDA demeure un problème de santé public et a des répercussions néfastes sur la démographie et l'économie nationale.
"Les chiffres sont alarmants. Il faut donc accentuer la lutte, observer les moyens de prévention de façon stricte. Car le bon encadrement des populations est le socle du développement et de l'émergence qu'aux côtés du chef de l'Etat, tous appellent de tous leurs vœux", a-t-il conseillé.
En 2012, l'ONUSIDA le taux de séroprévalence au VIH Sida en Côte d`Ivoire s’élèvait à 3,4,%, soit 450.000 personnes infectées dans ce pays, l’un des plus touchés par la pandémie en Afrique de l`ouest.
Les jeunes constituaient 3,4% de ces personnes infectées quand les femmes y représentaient 56%.
zgrp/tm
Forte de huit membres et composée paritairement de femmes et d'hommes, cette cellule dénommée ''Le bon samaritain" est dirigée par Attougré Affoué Blandine. C'est le président du conseil régional, présidente d'honneur de ladite cellule, N'Guessan Koffi Bernard qui en a procédé au baptême.
Dans son adresse, Mlle Attoungré a exhorté l'ensemble du personnel du conseil régional "à avoir des comportempents responsables, à savoir non seulement adopter le triptyque autour du SIDA notamment l'abstinence, la fidélité et le port du préservatif mais également et surtout arrêter de vivre dans l'ignorance qui doit amener chacun à connaître le statut sérologique eu égard aux avantages que cela procure."
Au nom du préfet, le Secrétaire général 2 de préfecture, Kokora Mauni François-Xavier, s'est félicité de l'installation de cette cellule, "véritable relai" au sein du conseil régional en matière de VIH/SIDA.
Disant une conférence sur le thème "Impact socio-économique du VIH sur la communauté", le Dr N'Guessan, médecin, a révélé que malgré tous les efforts du gouvernement et de ses partenaires, le VIH/SIDA demeure un problème de santé public et a des répercussions néfastes sur la démographie et l'économie nationale.
"Les chiffres sont alarmants. Il faut donc accentuer la lutte, observer les moyens de prévention de façon stricte. Car le bon encadrement des populations est le socle du développement et de l'émergence qu'aux côtés du chef de l'Etat, tous appellent de tous leurs vœux", a-t-il conseillé.
En 2012, l'ONUSIDA le taux de séroprévalence au VIH Sida en Côte d`Ivoire s’élèvait à 3,4,%, soit 450.000 personnes infectées dans ce pays, l’un des plus touchés par la pandémie en Afrique de l`ouest.
Les jeunes constituaient 3,4% de ces personnes infectées quand les femmes y représentaient 56%.
zgrp/tm