Abidjan - Dans le cadre d’un partenariat tripartite, Côte d’Ivoire-France-Union européenne, 11,817 milliards de FCFA(environ 18 millions d’euros) vont être octroyés à la Côte d’Ivoire en vue de l’amélioration de la santé maternelle et infantile.
Ces fonds devront améliorer l’accès à des services de santé de qualité à près de 1 million d’enfants de moins de cinq ans et de femmes enceintes des régions du Tonkpi, Cavally, Guémon, Gboklè, Nawa, San Pedro et du district d’Abidjan, indique un communiqué de la délégation de l’UE à Abidjan parvenu mercredi à l’AIP.
Selon le texte, sur le terrain, le service d’aide humanitaire et de protection civile de la Commission européenne (ECHO)auquel les fonds ont été transférés va travailler avec quatre ONG, à savoir Médecin du monde, Terre des hommes, International Rescue Committee et la Croix-Rouge française, qui interviennent depuis 2012 dans 17 districts sanitaires à Abidjan et dans l’ouest du pays, dans le cadre de la première phase du partenariat pour la transition conclue entre la Commission européenne et la Côte d’Ivoire.
"Ce nouveau financement permettra d’assurer une continuité entre la réponse humanitaire en matière de soins médicaux et le développement durable des services de santé publics ivoiriens, dans une optique de transition", précise le document.
Le partenariat intervient dans le cadre du contrat de désendettement et de développement (C2D), signé le 1er décembre 2012 entre la France et la Côte d’Ivoire et mis en œuvre par l’Agence française de développement (AFD).
La première tranche du C2D, d’un montant de 413,25 milliards de FCFA (630 millions d’euros) s’aligne sur le Plan national de développement (2012-2015) et couvre six secteurs d’intervention.
Le volet santé du C2D, d’un montant de 45,8 milliards de FCFA (69,9 millions d’euros) vise à l’amélioration de la santé des populations les plus vulnérables en Côte d’Ivoire grâce à une meilleure accessibilité de ces dernières à des services de santé de qualité.
Il s’appuie sur quatre axes principaux, à savoir l’appui au développement des ressources humaines paramédicales, le renforcement de la disponibilité en médicaments essentiels, l’amélioration de la qualité et de l’accessibilité des services de santé maternelle et infantile et de planification familiale et le renforcement des capacités institutionnelles du ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida, conclut le texte.
Ask/kp
Ces fonds devront améliorer l’accès à des services de santé de qualité à près de 1 million d’enfants de moins de cinq ans et de femmes enceintes des régions du Tonkpi, Cavally, Guémon, Gboklè, Nawa, San Pedro et du district d’Abidjan, indique un communiqué de la délégation de l’UE à Abidjan parvenu mercredi à l’AIP.
Selon le texte, sur le terrain, le service d’aide humanitaire et de protection civile de la Commission européenne (ECHO)auquel les fonds ont été transférés va travailler avec quatre ONG, à savoir Médecin du monde, Terre des hommes, International Rescue Committee et la Croix-Rouge française, qui interviennent depuis 2012 dans 17 districts sanitaires à Abidjan et dans l’ouest du pays, dans le cadre de la première phase du partenariat pour la transition conclue entre la Commission européenne et la Côte d’Ivoire.
"Ce nouveau financement permettra d’assurer une continuité entre la réponse humanitaire en matière de soins médicaux et le développement durable des services de santé publics ivoiriens, dans une optique de transition", précise le document.
Le partenariat intervient dans le cadre du contrat de désendettement et de développement (C2D), signé le 1er décembre 2012 entre la France et la Côte d’Ivoire et mis en œuvre par l’Agence française de développement (AFD).
La première tranche du C2D, d’un montant de 413,25 milliards de FCFA (630 millions d’euros) s’aligne sur le Plan national de développement (2012-2015) et couvre six secteurs d’intervention.
Le volet santé du C2D, d’un montant de 45,8 milliards de FCFA (69,9 millions d’euros) vise à l’amélioration de la santé des populations les plus vulnérables en Côte d’Ivoire grâce à une meilleure accessibilité de ces dernières à des services de santé de qualité.
Il s’appuie sur quatre axes principaux, à savoir l’appui au développement des ressources humaines paramédicales, le renforcement de la disponibilité en médicaments essentiels, l’amélioration de la qualité et de l’accessibilité des services de santé maternelle et infantile et de planification familiale et le renforcement des capacités institutionnelles du ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida, conclut le texte.
Ask/kp
