Dimbokro – La direction régionale de l'Education nationale et de l'Enseignement technique (DRENET) du N'Zi a installé, mercredi sa cellule focale de lutte contre le VIH/Sida, en présence des autorités administratives, politiques et éducatives de Dimbokro.
Cette cellule qui compte sept membres est présidée par Mme Foué Amoin-Kan Brigitte qui se dit déterminée à œuvrer pour freiner l'avancée du VIH/Sida notamment au sein du corps enseignant où les statistiques sont alarmantes.
Selon le Dr N'Guessan de la direction régionale de la Santé et de la Lutte contre le Sida qui a animé une conférence sur le thème ''Impacts socio-économiques du VIH sur la communauté'', la pandémie, malgré tous les efforts, reste un problème majeur de santé publique.
"Déjà, le 27 décembre 2012, Sidibé Michel, directeur exécutif de l'Onusida révélait qu'en Côte d'Ivoire, 185.000 personnes contaminées, 440.000 enfants orphelins du fait du Vih/Sida... quand 80% des lits d'hôpitaux sont occupés par des malades du Vih/Sida et 11,4% de la force de travail sera touchée d'ici 2020 par ce fléau", a-t-il rappelé.
Aussi, indiquant que le mal du siècle ne se guérit pas pour le moment, malgré les nombreux efforts de la communauté scientifique mondiale, Dr N'Guessan conseille l'abstinence, la fidélité ou le port du préservatif.
Le DRENET de Dimbokro, M. Haoulé Zirimba Jacques, devant ces révélations alarmantes, s'est tourné vers ses collaborateurs pour insister sur les conseils du médecin avant de demander à la nouvelle cellule de multiplier des séances de sensibilisation pour toucher le plus grand nombre d'enseignants et autres agents du système éducatif.
Il a donc mis cette cellule en mission de sensibilisation et d'information auprès des jeunes filles élèves sur les grosses précoces et non désirées.
Au nom du préfet, le deuxième secrétaire général (SG2) de la préfecture, Kokora Mauny François-Xavier, a réitéré les consignes notamment l'abstinence, la fidélité ou le port du préservatif, car en dehors des antirétroviraux pour prolonger la vie des infectés, le Sida ne se guérit pas encore, souhaitant bon vent au président de la cellule focale et à son équipe.
(Aip)
Zgrp/kkp/kp
Cette cellule qui compte sept membres est présidée par Mme Foué Amoin-Kan Brigitte qui se dit déterminée à œuvrer pour freiner l'avancée du VIH/Sida notamment au sein du corps enseignant où les statistiques sont alarmantes.
Selon le Dr N'Guessan de la direction régionale de la Santé et de la Lutte contre le Sida qui a animé une conférence sur le thème ''Impacts socio-économiques du VIH sur la communauté'', la pandémie, malgré tous les efforts, reste un problème majeur de santé publique.
"Déjà, le 27 décembre 2012, Sidibé Michel, directeur exécutif de l'Onusida révélait qu'en Côte d'Ivoire, 185.000 personnes contaminées, 440.000 enfants orphelins du fait du Vih/Sida... quand 80% des lits d'hôpitaux sont occupés par des malades du Vih/Sida et 11,4% de la force de travail sera touchée d'ici 2020 par ce fléau", a-t-il rappelé.
Aussi, indiquant que le mal du siècle ne se guérit pas pour le moment, malgré les nombreux efforts de la communauté scientifique mondiale, Dr N'Guessan conseille l'abstinence, la fidélité ou le port du préservatif.
Le DRENET de Dimbokro, M. Haoulé Zirimba Jacques, devant ces révélations alarmantes, s'est tourné vers ses collaborateurs pour insister sur les conseils du médecin avant de demander à la nouvelle cellule de multiplier des séances de sensibilisation pour toucher le plus grand nombre d'enseignants et autres agents du système éducatif.
Il a donc mis cette cellule en mission de sensibilisation et d'information auprès des jeunes filles élèves sur les grosses précoces et non désirées.
Au nom du préfet, le deuxième secrétaire général (SG2) de la préfecture, Kokora Mauny François-Xavier, a réitéré les consignes notamment l'abstinence, la fidélité ou le port du préservatif, car en dehors des antirétroviraux pour prolonger la vie des infectés, le Sida ne se guérit pas encore, souhaitant bon vent au président de la cellule focale et à son équipe.
(Aip)
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