Charles Gnahoré, président de la Fédération des organisations républicaines pour l’émergence, se félicite des retombées des récentes visites d’Etat du Président Ouattara dans le Centre du pays. Il en profite pour mettre en garde le Front populaire ivoirien (Fpi) qui annonce des semaines chaudes pour les Ivoiriens.
Vous étiez à Bouaké et à Yamoussoukro, dans le cadre des tournées du chef de l’Etat. Qu’est-ce qui vous motive à aller faire de la mobilisation autour de ces déplacements du Président Ouattara?
Ce qui nous motive à aller vers les populations pour les inviter à toutes les rencontres avec le chef de l’Etat, c’est simplement parce qu’Alassane Ouattara est en train de transformer la Côte d’Ivoire ; des actions sont menées sur le terrain. Nous ne sommes plus dans la théorie, mais plutôt dans la pratique des actions de gouvernance avec Alassane Ouattara. Nous allons donc vers les populations pour leur demander de se mobiliser autour des visites du chef de l’Etat pour témoigner leur reconnaissance à ce grand bâtisseur qui ne cesse, de jour comme de nuit, d’œuvrer au développement de la Côte d’Ivoire, à la prospérité des Ivoiriens. Alassane Ouattara a dit que le 31 décembre, il a de bonnes nouvelles pour les Ivoiriens. Nous avons foi que ces nouvelles-là vont se ressentir dans nos ménages, dans la vie de chacun de nous. Aujourd’hui, tous les Ivoiriens devraient donc accompagner ce développement impulsé par le Président Ouattara. Sa famille politique qui est le Rhdp le fait déjà. Nous nous sommes dit, pourquoi ne pas accompagner ses actions. Nous sommes d’autant plus fiers de ce que nous faisons qu’à Yamoussoukro, le ministre d’Etat Ahoussou Jeannot a lu le message d’Aimé Henri Konan Bédié, qui appelle à l’union de tous les enfants de Félix Houphouet-Boigny.
Qui vous soutient pour que vous arriviez à réaliser toutes ces actions?
En dehors d’Alassane Ouattara, il n’y a personne d’autre derrière nous. Et puis, on n’a pas besoin d’être poussé par quelqu'un, on n’a pas besoin d’avoir un gourou, comme on le dit communément, pour se mobiliser autour des actions d’Alassane Ouattara. Le Président Ouattara est en phase avec le peuple. Donc arriver à convaincre les gens n’est pas un exercice forcément difficile à réaliser, surtout que je suis un homme de communication. Et voyez-vous, un homme de communication a beaucoup de relations, beaucoup d’amitiés. Ce sont ces petites relations qui nous aident à faire tout ce que vous voyez.
Quelle est la prochaine étape de vos actions ?
Dans la région de Gbêkê, nous avons fait un don de sang, nous avons donné des vivres à la pouponnière Sainte Camille. Avant la visite du Bélier, nous avons donné des vivres à l’institut des aveugles de Toumodi. Nous avons offert des fauteuils roulants à des handicapés de Yamoussoukro... Nous allons continuer, autant que nous le pouvons, à assister les populations, même en dehors des visites d’Etat.
Justin Koua et le Fpi annoncent que le Président Ouattara ne va plus dormir parce qu’eux aussi ont décidé de ne plus dormir. Quel commentaire vous inspire cette sortie du Fpi ?
C’est ce réveil que nous attendons de Justin Koua. Parce qu’à notre avis, un jeune qui ne dort pas trop ; il doit être au travail. Et le chef de l’Etat l’a dit, pour que nous soyons un pays émergent à l’horizon 2020, il faut que nous soyons au travail. Lui-même Alassane Ouattara, président de la République, ne dort pas. Il était à Paris, il est revenu au pays puis, deux jours après, il est parti en Afrique du Sud. De l’Afrique du Sud, il est rentré au pays pour effectuer une visite d’Etat. Nous jeunes, ne devons donc pas dormir.
Justin Koua annonce plutôt des marches, des sit-in…
Que compte-t-il dénoncer dans la gestion du Président Ouattara à travers ces marches et ces sit-in ? Est-ce pour dire qu’il n’est pas content de la construction du Pont Henri Konan Bédié, de l’autoroute du nord que le président vient d’inaugurer ou des villages électrifiés dans sa région d’origine ? S’il réussit à nous démontrer que le Président Ouattara n’est pas au travail, nous allons l’accompagner dans ces marches et ces sit-in pour dénoncer ce qu’il veut dénoncer. Mais si c’est juste parce qu’il est dans un parti d’opposition qu’il pense nécessaire d’organiser ces marches, nous allons aussi l’accompagner parce que nous ne voulons plus de troubles dans ce pays. Justin Koua n’a pas le droit de détruire ce pays, et nous ferons tout pour l’en empêcher.
Entretien réalisé par MD
Vous étiez à Bouaké et à Yamoussoukro, dans le cadre des tournées du chef de l’Etat. Qu’est-ce qui vous motive à aller faire de la mobilisation autour de ces déplacements du Président Ouattara?
Ce qui nous motive à aller vers les populations pour les inviter à toutes les rencontres avec le chef de l’Etat, c’est simplement parce qu’Alassane Ouattara est en train de transformer la Côte d’Ivoire ; des actions sont menées sur le terrain. Nous ne sommes plus dans la théorie, mais plutôt dans la pratique des actions de gouvernance avec Alassane Ouattara. Nous allons donc vers les populations pour leur demander de se mobiliser autour des visites du chef de l’Etat pour témoigner leur reconnaissance à ce grand bâtisseur qui ne cesse, de jour comme de nuit, d’œuvrer au développement de la Côte d’Ivoire, à la prospérité des Ivoiriens. Alassane Ouattara a dit que le 31 décembre, il a de bonnes nouvelles pour les Ivoiriens. Nous avons foi que ces nouvelles-là vont se ressentir dans nos ménages, dans la vie de chacun de nous. Aujourd’hui, tous les Ivoiriens devraient donc accompagner ce développement impulsé par le Président Ouattara. Sa famille politique qui est le Rhdp le fait déjà. Nous nous sommes dit, pourquoi ne pas accompagner ses actions. Nous sommes d’autant plus fiers de ce que nous faisons qu’à Yamoussoukro, le ministre d’Etat Ahoussou Jeannot a lu le message d’Aimé Henri Konan Bédié, qui appelle à l’union de tous les enfants de Félix Houphouet-Boigny.
Qui vous soutient pour que vous arriviez à réaliser toutes ces actions?
En dehors d’Alassane Ouattara, il n’y a personne d’autre derrière nous. Et puis, on n’a pas besoin d’être poussé par quelqu'un, on n’a pas besoin d’avoir un gourou, comme on le dit communément, pour se mobiliser autour des actions d’Alassane Ouattara. Le Président Ouattara est en phase avec le peuple. Donc arriver à convaincre les gens n’est pas un exercice forcément difficile à réaliser, surtout que je suis un homme de communication. Et voyez-vous, un homme de communication a beaucoup de relations, beaucoup d’amitiés. Ce sont ces petites relations qui nous aident à faire tout ce que vous voyez.
Quelle est la prochaine étape de vos actions ?
Dans la région de Gbêkê, nous avons fait un don de sang, nous avons donné des vivres à la pouponnière Sainte Camille. Avant la visite du Bélier, nous avons donné des vivres à l’institut des aveugles de Toumodi. Nous avons offert des fauteuils roulants à des handicapés de Yamoussoukro... Nous allons continuer, autant que nous le pouvons, à assister les populations, même en dehors des visites d’Etat.
Justin Koua et le Fpi annoncent que le Président Ouattara ne va plus dormir parce qu’eux aussi ont décidé de ne plus dormir. Quel commentaire vous inspire cette sortie du Fpi ?
C’est ce réveil que nous attendons de Justin Koua. Parce qu’à notre avis, un jeune qui ne dort pas trop ; il doit être au travail. Et le chef de l’Etat l’a dit, pour que nous soyons un pays émergent à l’horizon 2020, il faut que nous soyons au travail. Lui-même Alassane Ouattara, président de la République, ne dort pas. Il était à Paris, il est revenu au pays puis, deux jours après, il est parti en Afrique du Sud. De l’Afrique du Sud, il est rentré au pays pour effectuer une visite d’Etat. Nous jeunes, ne devons donc pas dormir.
Justin Koua annonce plutôt des marches, des sit-in…
Que compte-t-il dénoncer dans la gestion du Président Ouattara à travers ces marches et ces sit-in ? Est-ce pour dire qu’il n’est pas content de la construction du Pont Henri Konan Bédié, de l’autoroute du nord que le président vient d’inaugurer ou des villages électrifiés dans sa région d’origine ? S’il réussit à nous démontrer que le Président Ouattara n’est pas au travail, nous allons l’accompagner dans ces marches et ces sit-in pour dénoncer ce qu’il veut dénoncer. Mais si c’est juste parce qu’il est dans un parti d’opposition qu’il pense nécessaire d’organiser ces marches, nous allons aussi l’accompagner parce que nous ne voulons plus de troubles dans ce pays. Justin Koua n’a pas le droit de détruire ce pays, et nous ferons tout pour l’en empêcher.
Entretien réalisé par MD