Abidjan - Les entreprises de presse ivoiriennes, en difficultés financières due à une baisse drastique et progressive de leurs ventes, ont sollicité, jeudi, l’aide du Chef de l’Etat Alassane Ouattara, pour sortir du "coma".
Lors de la cérémonie d’échanges de vœux de nouvel an entre le Président Ouattara et les acteurs du monde des médias, le président du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’ivoire, Amédé Assi, a expliqué "la chute vertigineuse des ventes" des journaux par "la baisse du pouvoir d’achat des consommateurs", "la concurrence des nouveaux médias", et "la désaffection des lecteur".
M. Assi a notamment plaidé auprès d’Alassane Ouattara pour une " subvention des impressions des journaux durant six mois, sur une période de trois ans", "la reconduction des exonérations de taxes et d’impôts aux profits des entreprise de presse", "l’exonération des frais de dédouanement sur produits entrant dans la fabrication des journaux", "le renforcement des capacités du Fonds de soutien de développement de la presse(FSDP)".
Les chiffres d’affaires des entreprises de presse ont baissés de 7% de 2012 à 2013, selon le GEPCI.
tm
Lors de la cérémonie d’échanges de vœux de nouvel an entre le Président Ouattara et les acteurs du monde des médias, le président du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’ivoire, Amédé Assi, a expliqué "la chute vertigineuse des ventes" des journaux par "la baisse du pouvoir d’achat des consommateurs", "la concurrence des nouveaux médias", et "la désaffection des lecteur".
M. Assi a notamment plaidé auprès d’Alassane Ouattara pour une " subvention des impressions des journaux durant six mois, sur une période de trois ans", "la reconduction des exonérations de taxes et d’impôts aux profits des entreprise de presse", "l’exonération des frais de dédouanement sur produits entrant dans la fabrication des journaux", "le renforcement des capacités du Fonds de soutien de développement de la presse(FSDP)".
Les chiffres d’affaires des entreprises de presse ont baissés de 7% de 2012 à 2013, selon le GEPCI.
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