Abidjan – Le Président de la République, Alassane Ouattara appelle à une presse plus crédible et professionnelle en Côte d’Ivoire et surtout qui « parvienne à une plus grande autonomie financière et économique ».
Lors de la cérémonie de présentation des vœux du nouvel an des médias au chef de l’Etat, celui-ci a fait observer que le développement des entreprises de presse passe par la rigueur et la bonne pratique de gestion.
Alassane Ouattara a promis que l’engagement de l’Etat aux côtés de la presse va se poursuivre en 2014, en vue de l’amélioration des conditions de travail des agents.
Il a par ailleurs invité les entreprises et organisations à utiliser le Fonds de soutien et de développement de la presse (FSDP), doté d’un montant d’environ 1,5 milliard FCFA mais pas suffisamment sollicité.
Cette cérémonie, la 3ème du genre organisée consécutivement par la Présidence de la République, a été l’occasion pour les porte-parole du secteur de dresser le bilan de l’année écoulée et de présenter leurs doléances, pour le développement des médias.
A ce titre, le président du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI), Amédée Adon Assi a demandé, entre autres, une subvention de l’impression des journaux sur six mois, pendant trois ans; la mise en œuvre des recommandations des états généraux de la presse tenus fin août 2012; l’annulation des arriérés fiscaux et l’exonération des droits et taxes sur les équipements médiatiques; une aide budgétaire directe aux entreprises légalement constituées.
Quant au président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire, Traoré Moussa, il a également, à la suite de M. Assi, déploré la chute des volumes et des ventes des journaux.
Tout en se réjouissant des actions de l’Etat pour accompagner le développement des médias et de leurs acteurs, notamment par le biais du FSDP, il a sollicité l’implication personnelle du Président Ouattara pour l’application effective de la convention collective, après « 15 ans de fausse promesses ».
Traoré Moussa a en outre fait observer qu’un an après la signature (23 janvier 2012) du décret modifiant le statut de l’Agence Ivoirienne de Presse (AIP), il est impératif de signer le décret d’application et de mettre en place le conseil de gestion.
cmas
Lors de la cérémonie de présentation des vœux du nouvel an des médias au chef de l’Etat, celui-ci a fait observer que le développement des entreprises de presse passe par la rigueur et la bonne pratique de gestion.
Alassane Ouattara a promis que l’engagement de l’Etat aux côtés de la presse va se poursuivre en 2014, en vue de l’amélioration des conditions de travail des agents.
Il a par ailleurs invité les entreprises et organisations à utiliser le Fonds de soutien et de développement de la presse (FSDP), doté d’un montant d’environ 1,5 milliard FCFA mais pas suffisamment sollicité.
Cette cérémonie, la 3ème du genre organisée consécutivement par la Présidence de la République, a été l’occasion pour les porte-parole du secteur de dresser le bilan de l’année écoulée et de présenter leurs doléances, pour le développement des médias.
A ce titre, le président du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI), Amédée Adon Assi a demandé, entre autres, une subvention de l’impression des journaux sur six mois, pendant trois ans; la mise en œuvre des recommandations des états généraux de la presse tenus fin août 2012; l’annulation des arriérés fiscaux et l’exonération des droits et taxes sur les équipements médiatiques; une aide budgétaire directe aux entreprises légalement constituées.
Quant au président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire, Traoré Moussa, il a également, à la suite de M. Assi, déploré la chute des volumes et des ventes des journaux.
Tout en se réjouissant des actions de l’Etat pour accompagner le développement des médias et de leurs acteurs, notamment par le biais du FSDP, il a sollicité l’implication personnelle du Président Ouattara pour l’application effective de la convention collective, après « 15 ans de fausse promesses ».
Traoré Moussa a en outre fait observer qu’un an après la signature (23 janvier 2012) du décret modifiant le statut de l’Agence Ivoirienne de Presse (AIP), il est impératif de signer le décret d’application et de mettre en place le conseil de gestion.
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