Le Conseil national de la presse (CNP) a, en sa première session extraordinaire de l’année 2014 tenue le jeudi à Abidjan, rendu cinq décisions sanctionnant quatre journaux et quatre journalistes, dont le président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), Traoré Moussa, et Alafé Wakili du quotidien " L’Intelligent d’Abidjan".
Les entreprises de presse La Refondation Sa, éditrice du quotidien ‘'Notre Voie'', SAEI, éditrice de ‘' Le Jour Plus‘' et Avenir Média, éditrice du quotidien ‘'Le Nouveau Courrier'', écopent respectivement d'une amende pécuniaire de 3.000.000 de FCFA, 1.000.000 de FCFA et 500.000 FCFA pour avoir publié de fausses informations.
Le Conseil a infligé à l'entreprise de presse Aymar Group, éditrice du quotidien ‘' Le Quotidien d'Abidjan'', une suspension de 52 parutions soit 2 mois d'interdiction de paraître'', pour être "coutumier" de la publication d’articles relevant "à la limite de l’invention".
Par ailleurs, les journalistes N’Guessan Kouassi du journal ‘’Le Jour Plus’’ et Oula Saint Claver de ‘’Le Nouveau Courrier’’ sont "suspendus d’écriture pour une durée d’un mois avec retrait subséquent de la carte d’identité de journaliste professionnel", selon le communiqué.
Moussa Traoré, président de l'UNJCI et Alafé Wakili, gérant de l'entreprise de presse Socef-NTIC, éditrice du quotidien ‘'L'Intelligent d'Abidjan'', écopent quant à eux d'une "suspension d'écriture d'une durée de 6 mois pour chacun, suivie du retrait subséquent de la carte d'identité de journaliste professionnel''.
Il leur est reproché, selon le CNP, des faits de "tentative de corruption" d’un autre journaliste, Assalé Tiémoko, gérant du journal satirique ‘’l’Eléphant déchainé’’, aux fins de renoncer à la publication d’un article compromettant sur le ministre de l’Economie et des Finances, Kaba Nialé.
gk/kkp/tm
Les entreprises de presse La Refondation Sa, éditrice du quotidien ‘'Notre Voie'', SAEI, éditrice de ‘' Le Jour Plus‘' et Avenir Média, éditrice du quotidien ‘'Le Nouveau Courrier'', écopent respectivement d'une amende pécuniaire de 3.000.000 de FCFA, 1.000.000 de FCFA et 500.000 FCFA pour avoir publié de fausses informations.
Le Conseil a infligé à l'entreprise de presse Aymar Group, éditrice du quotidien ‘' Le Quotidien d'Abidjan'', une suspension de 52 parutions soit 2 mois d'interdiction de paraître'', pour être "coutumier" de la publication d’articles relevant "à la limite de l’invention".
Par ailleurs, les journalistes N’Guessan Kouassi du journal ‘’Le Jour Plus’’ et Oula Saint Claver de ‘’Le Nouveau Courrier’’ sont "suspendus d’écriture pour une durée d’un mois avec retrait subséquent de la carte d’identité de journaliste professionnel", selon le communiqué.
Moussa Traoré, président de l'UNJCI et Alafé Wakili, gérant de l'entreprise de presse Socef-NTIC, éditrice du quotidien ‘'L'Intelligent d'Abidjan'', écopent quant à eux d'une "suspension d'écriture d'une durée de 6 mois pour chacun, suivie du retrait subséquent de la carte d'identité de journaliste professionnel''.
Il leur est reproché, selon le CNP, des faits de "tentative de corruption" d’un autre journaliste, Assalé Tiémoko, gérant du journal satirique ‘’l’Eléphant déchainé’’, aux fins de renoncer à la publication d’un article compromettant sur le ministre de l’Economie et des Finances, Kaba Nialé.
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