Citée dans l’affaire de «tentative de corruption» qui secoue en ce moment les milieux de la presse en Côte-d’Ivoire, impliquant des journalistes de premier plan et ayant occasionné «la démission temporaire » du président de l’Union des Journalistes de Côte-d’Ivoire (UNJCI), Traoré Moussa dit MT, la ministre déléguée à l’économie vient de réagir.
« Vous indiquez que Monsieur Traoré Moussa Ahmed serait venu vous rencontrer à ma demande avec la somme de 500 000 FCFA. J’aimerais en retour vous rassurer que je n’ai envoyé personne vers vous… » aurait répondu la ministre Kaba Nialé au journaliste Assalé Tiemoko, qui accuse ses collègues d’avoir voulu l’empêcher de faire des publications sur la ministre. Le Conseil National de la presse [CNP] en Côte-d’Ivoire, saisit de cette affaire par le journaliste «satirique » Assalé Tiémoko [transfuge du Nouveau Réveil, proche du PDCI], après avoir entendu les principaux protagonistes, a décidé de suspendre pour 6 mois les journalistes Alafé Wakili et Traoré Moussa. L’affaire pourrait aboutir devant les tribunaux ivoiriens selon certains protagonistes. Dans un récent communiqué, la nouvelle présidente par intérim de l’UNJCI, Habiba Dembélé Sahouet avait appelé le CNP à reconsidérer les sanctions.
« Vous indiquez que Monsieur Traoré Moussa Ahmed serait venu vous rencontrer à ma demande avec la somme de 500 000 FCFA. J’aimerais en retour vous rassurer que je n’ai envoyé personne vers vous… » aurait répondu la ministre Kaba Nialé au journaliste Assalé Tiemoko, qui accuse ses collègues d’avoir voulu l’empêcher de faire des publications sur la ministre. Le Conseil National de la presse [CNP] en Côte-d’Ivoire, saisit de cette affaire par le journaliste «satirique » Assalé Tiémoko [transfuge du Nouveau Réveil, proche du PDCI], après avoir entendu les principaux protagonistes, a décidé de suspendre pour 6 mois les journalistes Alafé Wakili et Traoré Moussa. L’affaire pourrait aboutir devant les tribunaux ivoiriens selon certains protagonistes. Dans un récent communiqué, la nouvelle présidente par intérim de l’UNJCI, Habiba Dembélé Sahouet avait appelé le CNP à reconsidérer les sanctions.