Le GEPCI suspend Alafé Wakili, l’OLPED va engager la médiation
La tempête qui secoue en ce moment le monde de la presse ivoirienne continue de faire des vagues. Après la suspension et le retrait de la carte d’identité de journaliste professionnel de Moussa Traoré, Président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire, et Alafé Wakili, patron de « L’Intelligent d’Abidjan», pour une période de six mois par le Conseil National de la Presse, c’est autour du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire de réagir.
Dans une déclaration rendue publique hier, le GEPCI dit prendre acte des sanctions du CNP. Bien plus, son bureau exécutif, rapporte le communiqué, en sa réunion hebdomadaire du mercredi 22 janvier 2014, a auditionné, à son tour, MM. Alafé Wakili (2ème Vice-président) et Amédée Assi Adon (Président, siégeant au CNP pour le compte du Groupement) sur la même affaire. Et au terme de cette double audition, le Bureau exécutif du GEPCI a noté que les faits reprochés principalement à son 2ème Vice-président sont d’une extrême gravité. C’est pourquoi, il a décidé de suspendre à partir du 24 janvier, l’éditeur Alafé Wakili de ses fonctions de 2ème Vice-président du Groupement pour lui permettre de se défendre. Autre organisation très influente dans le secteur de la presse et des médias, l’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (Olped), qui s’était déjà auto saisi de ces différentes sanctions, révèle, à travers un communiqué, « avoir formellement été sollicité par les concernés, pour une médiation auprès du CNP». Avant de s’engager à le faire conformément à ses missions et méthode de travail. Pour mémoire, Alafé Wakili est accusé d’être l’instigateur principal, et Moussa Traoré, le complice, d’une tentative de corruption sur la personne du journaliste Assalé Tiémoko, Gérant de la Société Nouvelle Edition de Côte d’Ivoire, éditeur du bihebdomadaire « L’Eléphant déchaîné». Les deux journalistes entendent bien entendu laver leur honneur dans cette affaire, il est vrai, ténébreuse. Pour sûr, ce feuilleton, qui agace plus d’un dans le milieu, n’est pas prêt de connaître son épilogue.
Y. Sangaré
La tempête qui secoue en ce moment le monde de la presse ivoirienne continue de faire des vagues. Après la suspension et le retrait de la carte d’identité de journaliste professionnel de Moussa Traoré, Président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire, et Alafé Wakili, patron de « L’Intelligent d’Abidjan», pour une période de six mois par le Conseil National de la Presse, c’est autour du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire de réagir.
Dans une déclaration rendue publique hier, le GEPCI dit prendre acte des sanctions du CNP. Bien plus, son bureau exécutif, rapporte le communiqué, en sa réunion hebdomadaire du mercredi 22 janvier 2014, a auditionné, à son tour, MM. Alafé Wakili (2ème Vice-président) et Amédée Assi Adon (Président, siégeant au CNP pour le compte du Groupement) sur la même affaire. Et au terme de cette double audition, le Bureau exécutif du GEPCI a noté que les faits reprochés principalement à son 2ème Vice-président sont d’une extrême gravité. C’est pourquoi, il a décidé de suspendre à partir du 24 janvier, l’éditeur Alafé Wakili de ses fonctions de 2ème Vice-président du Groupement pour lui permettre de se défendre. Autre organisation très influente dans le secteur de la presse et des médias, l’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (Olped), qui s’était déjà auto saisi de ces différentes sanctions, révèle, à travers un communiqué, « avoir formellement été sollicité par les concernés, pour une médiation auprès du CNP». Avant de s’engager à le faire conformément à ses missions et méthode de travail. Pour mémoire, Alafé Wakili est accusé d’être l’instigateur principal, et Moussa Traoré, le complice, d’une tentative de corruption sur la personne du journaliste Assalé Tiémoko, Gérant de la Société Nouvelle Edition de Côte d’Ivoire, éditeur du bihebdomadaire « L’Eléphant déchaîné». Les deux journalistes entendent bien entendu laver leur honneur dans cette affaire, il est vrai, ténébreuse. Pour sûr, ce feuilleton, qui agace plus d’un dans le milieu, n’est pas prêt de connaître son épilogue.
Y. Sangaré