Abidjan, Le Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire(GEPCI), a suspendu vendredi, l’éditeur Alafé Wakili de ses fonctions de 2ème vice-président, pour lui permettre de se défendre dans les faits qui l’accuse d’être l’instigateur principal d’une tentative de corruption, sur la personne du journaliste Assalé Tiémoko, gérant de la société nouvelle édition de Côte d’Ivoire, dans un communiqué rendu public.
Selon le document, le GEPCI dit prendre acte des sanctions du Conseil national de la presse(CNP) pour le retrait de la carte de journaliste professionnel pour une durée de six mois, du patron du quotidien, l’Intelligent d’Abidjan, Alafé Wakili et du président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire(UNJCI), Traoré moussa accusé pour sa part, d’être complice dans cette affaire de tentative de corruption.
Le bureau exécutif, rapporte le communiqué, a au terme de son audition noté que les " faits reprochés principalement à son 2ème vice-président sont d’une extrême gravité" et qu’il "prend acte de la décision de M. Moussa Traoré de se mettre en congé de la présidence de l’UNJCI".
(AIP)
Amak/kam
Selon le document, le GEPCI dit prendre acte des sanctions du Conseil national de la presse(CNP) pour le retrait de la carte de journaliste professionnel pour une durée de six mois, du patron du quotidien, l’Intelligent d’Abidjan, Alafé Wakili et du président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire(UNJCI), Traoré moussa accusé pour sa part, d’être complice dans cette affaire de tentative de corruption.
Le bureau exécutif, rapporte le communiqué, a au terme de son audition noté que les " faits reprochés principalement à son 2ème vice-président sont d’une extrême gravité" et qu’il "prend acte de la décision de M. Moussa Traoré de se mettre en congé de la présidence de l’UNJCI".
(AIP)
Amak/kam
