Abidjan - Environ 25 journalistes de la presse nationale ont pris part, jeudi à Abidjan, à un atelier de renforcement des capacités sur l’analyse des procédures pénales nationales liées à la crise postélectorale, afin d’en assurer une meilleure couverture.
"Le séminaire doit permettre aux participants de comprendre et d’être en mesure de faire une couverture et une analyse des procédures pénales nationales liées à la violence post électorale", a expliqué Mohamed Suma, coordonnateur du centre international pour la justice transitionnelle (ICTJ), initiatrice de l’atelier en collaboration avec l’Union européenne.
Selon M. Suma, il était nécessaire d’organiser cette rencontre, en adéquation avec les médias, au moment où le système judiciaire ivoirien s’apprête à ouvrir le premier procès résultant de l’enquête menée par la cellule spéciale d’enquête pour la crise post électorale.
"Il faut souligner la nécessité d’une meilleure compréhension des procédures pénales en cours au niveau national et international, afin d’en assurer une meilleure couverture, en tenant compte de la qualité et l’adéquation des procédures pénales menées devant les juridictions nationales et du rapport de complémentarité entre les juridictions nationales et la CPI", a-t-il souligné.
Cet atelier a regroupé des journalistes venus d’Abidjan, de Bouaké, de Yamoussoukro, de Korhogo, d’Odienné, de Man, de Duékoué et de San Pedro.
"Le séminaire doit permettre aux participants de comprendre et d’être en mesure de faire une couverture et une analyse des procédures pénales nationales liées à la violence post électorale", a expliqué Mohamed Suma, coordonnateur du centre international pour la justice transitionnelle (ICTJ), initiatrice de l’atelier en collaboration avec l’Union européenne.
Selon M. Suma, il était nécessaire d’organiser cette rencontre, en adéquation avec les médias, au moment où le système judiciaire ivoirien s’apprête à ouvrir le premier procès résultant de l’enquête menée par la cellule spéciale d’enquête pour la crise post électorale.
"Il faut souligner la nécessité d’une meilleure compréhension des procédures pénales en cours au niveau national et international, afin d’en assurer une meilleure couverture, en tenant compte de la qualité et l’adéquation des procédures pénales menées devant les juridictions nationales et du rapport de complémentarité entre les juridictions nationales et la CPI", a-t-il souligné.
Cet atelier a regroupé des journalistes venus d’Abidjan, de Bouaké, de Yamoussoukro, de Korhogo, d’Odienné, de Man, de Duékoué et de San Pedro.