Abidjan - Le Conseil d’administration de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) a annoncé vendredi la suspension du Conseil exécutif, suite à l'affaire de la présumée tentative de corruption impliquant le président du Conseil exécutif, Traoré Moussa.
Cette décision du conseil d’administration fait suite à la sanction portant « suspension de six mois avec retrait subséquent de la carte de journaliste professionnel » prononcée par le Conseil national de la presse (CNP), à l'encontre de Touré Moussa, alors que ce dernier s’est mis depuis lors « en congé » de la présidence de l’UNJCI pour clarifier cette situation.
« Nous sommes surpris par cette décision du conseil d’administration parce que conformément aux dispositions statutaires de l'UNJCI, toute décision portant suspension, démission ou convocation d'un congrès extraordinaire émanant du conseil d'administration est nulle et de nul effet », a réagi de son côté le secrétaire général du Conseil exécutif de l’UNJCI, Félix Bony, joint au téléphone par l'AIP.
Moussa Traoré et Alafé Wakili, gérant de l'entreprise de presse Socef-NTIC, éditrice du quotidien ‘'L'Intelligent d'Abidjan'', ont écopé d'une "suspension d'écriture d'une durée de 6 mois pour chacun, suivie du retrait subséquent de la carte d'identité de journaliste professionnel''.
Il leur est reproché, selon le CNP, des faits de "tentative de corruption" d’un autre journaliste, Assalé Tiémoko, gérant du journal satirique ‘’l’Eléphant déchainé’’, aux fins de renoncer à la publication d’un article compromettant sur la ministre de l’Economie et des Finances, Kaba Nialé.
Cette décision du conseil d’administration fait suite à la sanction portant « suspension de six mois avec retrait subséquent de la carte de journaliste professionnel » prononcée par le Conseil national de la presse (CNP), à l'encontre de Touré Moussa, alors que ce dernier s’est mis depuis lors « en congé » de la présidence de l’UNJCI pour clarifier cette situation.
« Nous sommes surpris par cette décision du conseil d’administration parce que conformément aux dispositions statutaires de l'UNJCI, toute décision portant suspension, démission ou convocation d'un congrès extraordinaire émanant du conseil d'administration est nulle et de nul effet », a réagi de son côté le secrétaire général du Conseil exécutif de l’UNJCI, Félix Bony, joint au téléphone par l'AIP.
Moussa Traoré et Alafé Wakili, gérant de l'entreprise de presse Socef-NTIC, éditrice du quotidien ‘'L'Intelligent d'Abidjan'', ont écopé d'une "suspension d'écriture d'une durée de 6 mois pour chacun, suivie du retrait subséquent de la carte d'identité de journaliste professionnel''.
Il leur est reproché, selon le CNP, des faits de "tentative de corruption" d’un autre journaliste, Assalé Tiémoko, gérant du journal satirique ‘’l’Eléphant déchainé’’, aux fins de renoncer à la publication d’un article compromettant sur la ministre de l’Economie et des Finances, Kaba Nialé.