Abidjan, Le conseil d’administration de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) a annoncé vendredi l’annulation de sa décision du 13 février portant convocation d’une Assemblée générale extraordinaire et gel des comptes bancaires, mettant fin à une crise qui a secoué l’union dans l’affaire de tentative présumée de corruption d’un journaliste par le président de l’UNJCI, Traoré Moussa.
"Nous avons décidé de surseoir à la convocation d’une AG extraordinaire et au gel des avoirs de l’UNJCI. Nous allons installer dans les meilleurs délais la présidente par intérim, Habiba Dembélé", a déclaré le président du conseil d’administration, Oulidéhi Magloire Gnaé.
Le conseil d’administration avait décidé de convoquer un congrès extraordinaire et de geler les comptes bancaires de l’UNJCI.
Une décision que le conseil exécutif, dont l’intérim est assuré par Habiba Dembélé, avait récusée le 16 février, la jugeant "nulle et de nul effet".
Traoré Moussa, président de l’UNJCI a écopé d’une suspension d’écriture de six mois suivi du retrait subséquent de sa carte d’identité de journaliste professionnel par le CNP, pour "tentative" de corruption sur le gérant du journal satirique "L’Eléphant Déchaîné", Asalé Tiémoko. Il s’est depuis lors "mis en congé, le temps de (se) blanchir", cédant son fauteuil à sa vice-présidente, Habiba Dembélé.
(AIP)
aaa/kam
"Nous avons décidé de surseoir à la convocation d’une AG extraordinaire et au gel des avoirs de l’UNJCI. Nous allons installer dans les meilleurs délais la présidente par intérim, Habiba Dembélé", a déclaré le président du conseil d’administration, Oulidéhi Magloire Gnaé.
Le conseil d’administration avait décidé de convoquer un congrès extraordinaire et de geler les comptes bancaires de l’UNJCI.
Une décision que le conseil exécutif, dont l’intérim est assuré par Habiba Dembélé, avait récusée le 16 février, la jugeant "nulle et de nul effet".
Traoré Moussa, président de l’UNJCI a écopé d’une suspension d’écriture de six mois suivi du retrait subséquent de sa carte d’identité de journaliste professionnel par le CNP, pour "tentative" de corruption sur le gérant du journal satirique "L’Eléphant Déchaîné", Asalé Tiémoko. Il s’est depuis lors "mis en congé, le temps de (se) blanchir", cédant son fauteuil à sa vice-présidente, Habiba Dembélé.
(AIP)
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