Abidjan - Le Syndicat des agents de la presse privée de Côte d’Ivoire (SYNAPP-CI) plaide pour la mise en place d’un cadre plus structurant pouvant favoriser l’émergence de stations de radio capables d’offrir des conditions de vie plus décentes à leurs employés.
Dans une déclaration produite jeudi, à l’occasion de la célébration officielle de la journée mondiale de la Radio en Côte d’Ivoire, le Syndicat appelle notamment l’Etat à "créer un cadre législatif et réglementaire" et à apporter "un appui financier conséquent" aux chaînes de radio.
C’est "la première condition pour qu’elles (ces radios) soient de vrais facteurs de progrès pour nos populations", estime le SYNAPP-CI.
Cette organisation, outre les autorités étatiques, "exhorte également les responsables des collectivités locales et les promoteurs privés de radios à plus d’efforts et d’engagement en vue de réunir les conditions du bien-être de leurs agents".
Le syndicat dénonce par ailleurs toutes "les pratiques antisyndicales" qui ont cours au sein des radios en Côte d’Ivoire.
Selon le SYNAPP-CI, "90% des animateurs" qu’emploient 130 radios présentes en Côte d’Ivoire "vivent dans une précarité totale".
Célébrée tous les 13 février depuis trois ans, la Journée mondiale de la Radio proclamée au cours de la 36ème conférence générale de l’UNESCO et formellement adoptée lors de la 67ème session de l’ONU, vise à "célébrer la radio en tant que média, pour améliorer la coopération internationale entre les radiodiffuseurs et pour encourager les grands réseaux et les radios communautaires à promouvoir à travers les ondes, l’accès à l’information, la liberté d’expression et l’égalité des genres", signale-t-on.
Kg/kkp/tm
Dans une déclaration produite jeudi, à l’occasion de la célébration officielle de la journée mondiale de la Radio en Côte d’Ivoire, le Syndicat appelle notamment l’Etat à "créer un cadre législatif et réglementaire" et à apporter "un appui financier conséquent" aux chaînes de radio.
C’est "la première condition pour qu’elles (ces radios) soient de vrais facteurs de progrès pour nos populations", estime le SYNAPP-CI.
Cette organisation, outre les autorités étatiques, "exhorte également les responsables des collectivités locales et les promoteurs privés de radios à plus d’efforts et d’engagement en vue de réunir les conditions du bien-être de leurs agents".
Le syndicat dénonce par ailleurs toutes "les pratiques antisyndicales" qui ont cours au sein des radios en Côte d’Ivoire.
Selon le SYNAPP-CI, "90% des animateurs" qu’emploient 130 radios présentes en Côte d’Ivoire "vivent dans une précarité totale".
Célébrée tous les 13 février depuis trois ans, la Journée mondiale de la Radio proclamée au cours de la 36ème conférence générale de l’UNESCO et formellement adoptée lors de la 67ème session de l’ONU, vise à "célébrer la radio en tant que média, pour améliorer la coopération internationale entre les radiodiffuseurs et pour encourager les grands réseaux et les radios communautaires à promouvoir à travers les ondes, l’accès à l’information, la liberté d’expression et l’égalité des genres", signale-t-on.
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